Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris
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mardi 3 juillet 2012

LE SOMMEIL EN QUESTION :

La science s'intéresse à l'importance du sommeil

Le sommeil est un état naturel récurrent de perte de conscience. Un état de détente et de relaxation vital pour l'organisme. Une étude américaine le démontre en mettant en lumière la relation entre privation de sommeil et hyper réactivité émotionnelle. (Lu sur Le figaro.fr)
© GARO/PHANIE/phanie
La privation de sommeil peut mener à une plus grande anxiété. Une relation qui semble logique à quiconque a déjà fait l'expérience d'une nuit blanche, mais dont les mécanismes restaient à élucider.

De nouvelles recherches, présentées au mois de juin au congrès de l'Académie américaine de la médecine du sommeil, ont cherché à démontrer par quels mécanismes la privation de sommeil décuplait notre degré d'anticipation aux émotions imminentes.
Les chercheurs du laboratoire du sommeil et de l'imagerie neuronale de l'université de Berkeley (Californie) ont étudié les scanners cérébraux de 18 adultes soumis à des tests cognitifs au cours de deux sessions, l'une suivant une nuit de sommeil normale et la seconde après une privation de sommeil de 24 heures. « Ces tests consistaient à exposer les patients de façon aléatoire à des stimuli négatifs ou neutres afin d'observer leurs réactions », explique Andrea Goldstein, principal auteur de l'étude.

L'imagerie médicale a révélé que la privation de sommeil amplifiait de manière significative l'activité d'anticipation dans l'amygdale, une partie du cerveau associée à la réponse aux expériences négatives et désagréables. Dans certaines zones de ce centre émotionnel du cerveau, la privation de sommeil a déclenché une augmentation de la réaction anticipée de plus de 60 pour cent. Une intensité qui s'avère également corrélée à un penchant naturel à l'anxiété. « Les patients qui étaient connus pour leur anxiété ont montré la plus grande variation de leur capacité d'anticipation », précise l'étude.

« L'anticipation est un mécanisme cérébral fondamental que partagent nombre d'espèces,
rappelle Sylvie Royant-Parola, psychiatre responsable du centre d'exploration du sommeil de Garches (92) . Cette mise en alerte n'est pas foncièrement négative et sert au contraire à nous préparer à des situations de danger. Il s'agit donc d'un mécanisme de survie. Mais lorsque celle-ci est exacerbée et se transforme en une hyper réactivité, elle devient négative et se caractérise par un stress, voire une anxiété sévère. »

Les chercheurs de Berkeley jugent ce phénomène de plus en plus en plus inquiétant pour la société américaine qui subit une érosion continue du temps de sommeil.

Or, le problème de la privation de sommeil, loin de se limiter aux États-Unis, devient également un véritable problème de santé publique dans l'Hexagone. Si les Français sont encore loin du record américain avec un temps de sommeil moyen de 6h45 contre 6 heures pour leurs voisins d'outre-atlantique, ce quota semble insuffisant au regard des besoins moyens qui se situent autour de 7 à 8 heures. « Ce chiffre statistique ne représente rien à l'échelle individuelle, précise Sylvie Royant-Parola. Certains petits dormeurs se contentent de 6 heures de sommeil tandis que d'autres ont besoin de 9 heures pour se sentir reposés, l'essentiel étant de respecter son propre quota. Mais il montre une dette de sommeil dans la population française globale. Or une heure de sommeil en moins sur 24 heures suffit à ressentir les effets délétères de la privation de sommeil, et une dette de sommeil ne se rattrape pas, contrairement aux idées reçues », rappelle la psychiatre.

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