Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris
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jeudi 26 juillet 2018

HISTOIRES DE SORCIÈRES



Mon âme de sorcière

Symbole subversif de la révolte féministe, la figure de la sorcière est aujourd’hui de retour, prête à questionner nos choix, notre rapport au monde, à la nature, au corps, à la rationalité, à la sexualité… Et ce qu’elle a à nous apprendre peut réellement changer nos vies.

CHAPITRE 1

Tant d’histoires de sorcières

Source Inrees Odile Chabrillac
« La Sorcière, la médecinienne, la miresse, la Bonne Dame, la Belle Dame (Belladona), la saga, la sage-femme, l’Armide, la cartomancienne, la chipie, la pie-grièche, la chiromancienne, la guérisseuse, la harpie, la mégère, la magicienne, (…), l’oracle, la prophétesse, la pythonisse, la pimbêche, la fée, vous, moi. »
- Pascale d’Erm

Que sait-on des sorcières aujourd’hui ? Si peu de choses. Et même ce que l’on sait, il n’est pas sûr que cela soit vrai. Pourquoi ? Parce que, pendant des siècles, l’histoire – écrite par des hommes - a choisi d’occulter le massacre de ces femmes différentes.

mardi 13 décembre 2016

RÉHABILITONS LES SORCIÈRES

Réhabilitons
                                nos sorcières !

La chasse aux sorcières envoya au bûcher plus
de 50 000 personnes en Europe. Comment
comprendre ce qui s’est joué à cette période ?
Décryptage avec Jacques Roehrig, auteur de
"Procès en sorcellerie aux XVIe et XVIIe siècles".

Fin du Moyen-Âge, la France connaît ses premiers procès en sorcellerie. Quelques cas soulèvent l’opinion. Jeanne d’Arc, les Templiers… Mais c’est surtout au XVIe et au XVIIe siècles que le phénomène prend de l’ampleur, s’étendant comme traînée de poudre à travers toute l’Europe chrétienne.
« Un peu plus de cent mille individus ont été poursuivis au titre de la sorcellerie, et près de la moitié ont été brûlés », révèle Jacques Roehrig. En France, 9500 ont été assignés en justice, 5070 ont péri dans les flammes, notamment dans l’Est de la France.
Beaucoup étaient des gens de la terre ou des gardiens de troupeaux. « Parce qu’ils vivaient le plus souvent en dehors du village, on croyait que ces familiers de la nature en connaissaient les secrets, en particulier ceux des plantes sauvages, avec lesquelles ils étaient censés fabriquer des mixtures maléfiques et leurs antidotes », explique l’historien. On croyait également qu’ils dominaient les bêtes sauvages : certains des pâtres n’étaient-ils pas des meneurs de loups dressés à défendre leur troupeau ou à attaquer celui du voisin ? « D’autres, crevant la faim, se seraient transformés en loups garous à la recherche d’enfants à croquer », souligne Jacques Roehrig.