Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris
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dimanche 21 septembre 2014

REMOTE VIEWING ( voyance à distance )


Formez-vous au Remote Viewing avec IRIS Est-il possible de décrire un objet ou un événement dont nous ne savons rien, éloigné de nous dans le temps ou dans l’espace ? Le sens commun a tendance à répondre par la négative à cette question. Trop souvent, on ignore que cette problématique a fait l’objet de recherches très poussées, à la fois dans le domaine civil mais aussi militaire, sous la houlette du gouvernement américain, entre autres. En effet, la discipline du remote viewing, littéralement « vision à distance », a été développée en Occident dans les années 70, principalement dans les laboratoires du SRI (Stanford Research Institute), un institut californien de recherche créé par l’Université de Stanford, sous-traitant scientifique de l’armée américaine. A l’origine de sa mise au point, deux physiciens des lasers, Hal Puthoff et Russell Targ, et un artiste et chercheur sur les capacités de la conscience Ingo Swann. A la même époque, d’autres recherches furent menées dans le domaine civil, notamment par Stephan Schwartz au sein du Mobius group pour l’archéologie, et au PEAR (Princeton Engineering Anomalies Research Laboratory).
Véritable science de l’intuition, le RV a pour objectif de décrire des « cibles » de diverses natures en utilisant conjointement intuition et raisonnement. Les informations recherchées sont inaccessibles à la perception directe des cinq sens du fait de la distance spatiale, temporelle ou de l’impossibilité d’atteindre la cible.

mardi 10 juin 2014

VOIR À DISTANCE ....

Voir à distance : yes we can !

Russell Targ a dirigé pendant 20 ans un programme de recherches scientifiques sur les capacités de vision à distance, au-delà des limites ordinaires de l’espace et du temps. Conseils pratiques pour se lancer.

Croyez en vos capacités

« De mon point de vue, ce n’est pas un enseignement que je délivre aux gens, mais plutôt une permission d’exploiter des facultés qu’ils possèdent déjà », estime Russell Targ, qui anime depuis 1997 dans le monde entier des formations à la vision à distance. Soyez ouverts, confiants, curieux… L’important est de lâcher le mental et de se laisser porter par l’expérience, car « la vision à distance est une compétence non-analytique ».

mercredi 13 mars 2013

LE PROJET ALEXANDRIE


Liens média
Le plus grand projet d’archéologie intuitive
Le projet Alexandrie est un projet d’archéologie intuitive dirigé par Stephan A. Schwartz, pour la Mobius Society, de 1978 à 1979. Un livre et un documentaire du même nom, journaux de bord dudit projet, en ont été tirés (des liens et une vidéo sont disponibles en fin d’article).
L’objectif de ce projet était de réaliser une expérience de Remote Viewing appliquée à l’archéologie, afin d’en mesurer l’efficacité et la pertinence. Autrement dit, il était question d’utiliser les capacités intuitives comme un outil d’aide à l’exploration archéologique, ceci dans un cadre scientifique. A ce jour, le projet Alexandrie est le projet le plus ambitieux de mise en œuvre de l’intuition pour une application civile.

Un travail à distance

L’objectif de départ privilégia 4 cibles : l’obtention de précisions sur le site de Marea, la localisation du tombeau d’Alexandre le Grand, la localisation de la Grande Bibliothèque et la localisation d’un emplacement nommé dans l’Antiquité « la Colline des Nombreux Passages ».
Après des mois de préparations, le travail commença à l’été 1978, non pas en Égypte mais aux USA.
Tout d’abord, il fallut sélectionner les remote viewers qui y participeraient ; 11 intuitifs furent choisis. Puis, il fallut établir un questionnaire à fournir à ceux-ci afin qu’ils puissent avoir un fil d’Ariane à suivre par rapport à la carte avec laquelle ils allaient travailler. La carte était une carte standard au 1/10 000e allégée des noms et des couleurs afin d’éviter toute perturbation visuelle. Les entretiens furent réalisés en personne ou par échange de courrier, et toutes les données furent envoyées à un huissier à Los Angeles, siège du projet, pour y être analysées. C’est le croisement de l’ensemble des réponses qui permit de situer des zones de recherches privilégiées. Trois concentrations apparurent alors : l’une autour de la mosquée Nebi Daniel, la seconde loin vers l’est à côté d’une sorte de parc et la troisième sur la péninsule principale qui sépare le port occidental du port oriental. Une carte plus précise que la première fut alors envoyée aux intuitifs.

Une expédition terrain

Une fois obtenues ces zones privilégiées et les précisions sur la zone portuaire, la seconde phase du travail commença, qui allait se dérouler cette fois sur place. Schwartz et certains membres de son équipe arrivèrent le 14 mars 1979 à Alexandrie, suivi quelques jours plus tard de deux des intuitifs de l’équipe de départ : Georges McMullen et Hella Hamid. Les zones privilégiées furent explorées sur place à partir des données obtenues aux USA et avec l’aide des deux remote viewers. La zone de la péninsule principale qui sépare le port occidental du port oriental fut, elle, l’objet d’une recherche mêlant sur place l’usage les données intuitives et d’outils technologiques (principalement un sonar à balayage latéral développé et mis en œuvre par H. Edgerton, du MIT), afin de comparer les résultats obtenus.

Les résultats

Les résultats furent intéressants car les données des intuitifs permirent de situer 4 sites sur 5, là où le sonar ne permit de repérer qu’1 site sur 5. Et Schwartz d’ajouter que l’intérêt des données intuitives résidait aussi dans la rapidité de la vérification : aller sur les zones indiquées et faire descendre les plongeurs pour une observation directe alors que l’utilisation du sonar demandait à faire préalablement un balayage complet de la zone.
Les sites localisés et décrits par le projet sont nombreux. Les résultats comprennent l’établissement de la première cartographie moderne du port oriental, ainsi que les découvertes du palais de Marc Antoine, le palais ptolémaïque de Cléopâtre, des ruines du phare, et la ville de Marea.
« En tant qu’archéologue avec plus de 20 ans d’expérience sur le site d’Alexandrie, je dirais que ces découvertes sont de la plus haute importance. » Mieczyslaw Rodziewicz, université de Varsovie, Directeur de la Mission Archéologique d’Alexandrie.
« L’intuition et la science enterrent la hache de guerre et nous amènent des résultats époustouflants… » US Magazine
« Un des plus grands mystères de l’archéologie, la localisation du palais de Cléopâtre, a été résolu… » « Une » du Los Angeles Herald

IRIS CONSULTING

jeudi 26 janvier 2012

REMOTE VIEWING


Quand des intuitifs aident la justice
à résoudre des enquêtes

La technique de « vision à distance » est née aux États-Unis dans les années 70 sur la base des travaux scientifiques pour développer l'intuition et les perceptions. En France, cette méthode reste encore méconnue du grand public. Pourtant, officieusement, la police et la justice commencent à s’y intéresser.
Alexis Champion, docteur en informatique, est le directeur d’IRIS Intuition Consulting, une entreprise de recherche, de formations et d’application du Remote Viewing (RV), qu’il a lui-même fondée en 2008 alors qu’il était directeur de l’Institut Métapsychique International (IMI). Cette technique de « vision à distance » est née aux Etats-Unis dans les années 70 sur la base des travaux scientifiques pour développer l'intuition et les perceptions, principalement dans le but d’obtenir des informations spécifiques, relatives à une problématique définie. Une grande partie de ces recherches ont été financées par des organismes de renseignement comme la CIA ou la DIA qui, par la suite, ont créé une unité de renseignement pour les « espions psychiques » : c'est le fameux programme Star Gate.

En France, cette méthode reste encore méconnue du grand public. Pourtant, officieusement, la police et la justice commencent à s’y intéresser. Depuis 2008, les forces de l’ordre ont fait appel à IRIS Intuition Consulting pour des cas de personnes disparues et des affaires criminelles.

Selon vous, les forces de l’ordre collaborent-elles régulièrement avec des remote viewers et plus généralement avec des « intuitifs » ?
Il est en effet assez courant que des équipes d’enquêteurs fassent appel à des intuitifs mais le plus souvent de manière officieuse, évidemment. Depuis quelques centaines d’années, les forces de l’ordre -police et gendarmerie- collaborent avec des radiesthésistes pour résoudre des enquêtes. Cela peut être d’ordre criminel, comme trouver un corps, un suspect. Parfois, pour des cas difficiles où l’on manque d’indices, des voyants professionnels sont également consultés. Il arrive même parfois que ce soit directement le juge qui en fasse la demande mais cela se fait bien sûr en toute discrétion. Depuis 2008, et la création d’IRIS Intuition Consulting, les forces de l’ordre font aussi appel à des remote viewers.

Comment cette collaboration a-t-elle débuté ?
Notre équipe de viewers avait travaillé, de son côté, sur l’enquête d’une personne disparue à Marseille. Nous avions décidé d’envoyer nos résultats au chargé de police. Il les a trouvé très intéressants et nous a recontactés. On a alors commencé à collaborer avec ce commissariat sur cette affaire. J’ai ensuite été invité sur une émission de radio pour parler du remote viewing. Une équipe de police nous a contactés dans la foulée. J’ai alors été mandaté comme expert judiciaire pour qu’IRIS travaille avec cette équipe. La plus importante des affaires que nous avons eu à traiter a eu lieu il y a deux ans. Il s’agissait d’une affaire de meurtres avec violences sexuelles. Cinq viewers ont participé à ce dossier. Aux dernières nouvelles, l’affaire est toujours en cours.

Vos résultats sont-ils recevables par la justice ?
Oui, pour le tribunal qui nous a mandaté.

Avez-vous déjà aidé la police à faire arrêter un coupable ?
Je ne sais pas. On travaille complètement en aveugle. C’est-à-dire qu’on ne connaît rien de l’affaire sur laquelle on travaille et on ne demande aucune information préalable. Moins on en sait, mieux c’est car cela évite que la pratique du Remote Viewing ne soit influencée, polluée par le raisonnement. Nous devons uniquement être dans la perception, pas dans la déduction. Une fois nos informations livrées, on demande généralement au destinataire d’objectiver nos résultats, en notant leur pertinence. En moyenne, environ 70% des informations que nous lui fournissons sont jugées justes.

Pourquoi, selon vous, la collaboration des forces de l’ordre et de la justice avec des intuitifs (viewers, voyants, radiesthésistes) restent underground ?
Cela reste encore un tabou social. Les chargés d’enquête qui collaborent avec nous n’osent pas l’avouer de peur de passer pour totalement crédules. Dans 15-20 ans, je pense que le tabou sera levé. Mais le fait d’être nommé expert judiciaire sur une affaire est déjà un grand pas en avant !

Dans un article de notre magazine Inexploré (N°13), une journaliste nous a fait partagé son expérience lors d’une formation de remote viewing. La vision à distance serait donc une technique à la portée de tous ?
Tout le monde a en effet des capacités intuitives. Nous avons tous en nous cette part innée. Cela a d’ailleurs été démontré par méta-analyse statistique. Cette possibilité de l’esprit est comme un muscle dont les compétences se développent avec de l’entraînement. C’est comme l’apprentissage du piano : On peut tous prendre des cours mais certains montreront des prédispositions que d’autres n’ont pas. Et bien, après une formation, il y a en a qui exploiteront un certain panel de perceptions, alors que d’autres deviendront des Mozart du remote viewing ! 
Source article INREES