L’histoire paraît abracadabrante. Elle concerne pourtant, au moins une fois dans leur vie, 30 à 40% des gens. « Rien ne me préparait à ce type d’expérience, commente David Hufford. J’étais jeune, en bonne santé, ne consommais aucune substance. Je n’étais pas non plus particulièrement croyant, m’apprêtant plutôt à devenir un bon matérialiste. »
Être voyant et /ou médium en 2024.
De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.
Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,
L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.
De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.
Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.
Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .
Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider
mercredi 25 janvier 2023
ENTRE RÊVES ET RÉALITÉS
L’histoire paraît abracadabrante. Elle concerne pourtant, au moins une fois dans leur vie, 30 à 40% des gens. « Rien ne me préparait à ce type d’expérience, commente David Hufford. J’étais jeune, en bonne santé, ne consommais aucune substance. Je n’étais pas non plus particulièrement croyant, m’apprêtant plutôt à devenir un bon matérialiste. »
jeudi 2 juin 2016
LE POUVOIR DU RÊVE.....
Le pouvoir du rêve...
Suivez l'auteur Thierry Pierre Liot
dans le fabuleux voyage initiatique qu'il a vécu
aux côtés du maître spirituel Carlos Castaneda.
jeudi 21 janvier 2016
dimanche 24 mai 2015
Il y a des rêves très personnels, et il y a ces rêves que tout le monde fait au moins une fois dans sa vie... Zoom sur la signification de ces images qui hantent nos nuits.
Si vous aviez fixé des objectifs, professionnels ou personnels, il semble qu'ils ne soient pas atteints. Attention toutefois que cela ne devienne pas un problème.
jeudi 7 mai 2015
THÉRAPIE: CURE DE RÊVES
samedi 10 janvier 2015
RÊVEZ COMME VOUS VOULEZ !!!!!
Rêver est une bonne occupation
réparatrice , rêvez utile , en suivant ces conseils du tarot de Marseille :
BONNE NUIT
LES RÊVES ET LES ARCANES MAJEURS:
1- LE BATELEUR, pour les femmes qui veulent voir leur futur mari ou leur prochain amour en rêve.
2- LA PAPESSE, pour comprendre le message des rêves, autrement dit, pour pouvoir interpréter les symboles qu'ils renferment.
3- L'IMPÉRATRICE, pour savoir si une grossesse est en cours.
dimanche 31 août 2014
VISION, RÊVE LUCIDE , 9 conseils des chamanes
De la vision au rêve lucide :
9 conseils de chamanes
vendredi 21 mars 2014
A QUOI SERT LE RÊVE ? (conférence).
samedi 4 janvier 2014
LE RÊVE LUCIDE ET SES MYSTÈRES
Le rêve et ses mystères
Ils parviennent à maîtriser et à orienter leurs songes. Cette enquête hallucinante sur le phénomène des rêveurs lucides s'appuie sur les dernières recherches en neurosciences.
dimanche 15 septembre 2013
QUE NOUS APPRENDS LE RÊVE ?
mercredi 19 juin 2013
UN BEAU RÊVE
© Chloe Mayo
vendredi 31 mai 2013
vendredi 27 juillet 2012
J 'AI VU EN REVE.....
Le rêve dans l’Antiquité
Même les lois de la morale paraissent bafouées ou sont inconnues. Depuis le XIXème siècle jusqu’à aujourd’hui la science positiviste représentée par la neurophysiologie et la psychologie cognitiviste ont fait entrer le rêve dans leurs laboratoires de recherche. Une fois de plus (cela avait déjà commencé avec les théories sur la folie), l’un des derniers bastions de l’humanité – c’est-à-dire l’un des derniers lieux où l’homme peut être considéré comme spécifiquement humain, l’homme même, l’homme en tant qu’homme – est attaqué avec force. Le rêve est passé au gril de l’expérimentation, il est soumis aux grilles de l’interprétation physico-psychologico-chimique. Mais parle-t-on vraiment du rêve ? En quoi l’activité électrique enregistrée pendant le sommeil nous enseigne-t-elle sur le rêve ? Quelle confusion ! De la même façon que la psychologie contemporaine confond la pensée et les fonctions cognitives, la neurophysiologie confond le rêve et l’activité cérébrale électrique et biologique. Cette confusion participe d’un mouvement plus ample qui finira par la transformation de l’homme en un automate, l’animal-machine dont parlait Descartes.
Transposée dans le domaine de l’art, la question du lien entre le rêve et l’activité électrique cérébrale, pourrait s’exprimer en ces termes : l’étude du pigment de la peinture ou l’analyse du bois utilisé pour le tableau nous disent-elles quelque chose sur le sourire de la Joconde ? L’activité électrique et chimique du cerveau dormant est également présente chez grand nombre d’animaux, mais qu’en est-il du rêve ? L’animal rêve sans doute, mais nous ne parlons pas de l’expérience onirique propre à l’homme ; l’animal communique mais il ne parle pas… Essentielle, ancienne et toujours moderne question : « où est l’homme ? ». Différence de nature ou de degré entre l’homme et l’animal ? Le regain d’intérêt pour la question rêve réactualise ce débat. Les questions posées par l’étude du rêve appartiennent tout autant à la philosophie, la physiologie, la psychologie, l’ethnologie, la théologie etc. Elles trouvent des résonances et des réponses dans la littérature, la poésie, l’art. Elles invitent à ouvrir notre horizon : comment était appréhendé le rêve pendant la préhistoire, dans l’Antiquité, au Moyen-âge, comment est-il conçu aujourd’hui ? Quels domaines de réflexion et d’action ne seraient pas concernés par le rêve ? Je dis : aucun !
L’information simplette selon laquelle un homme âgé de plus de 70 ans aurait passé au moins cinquante mille heures de sa vie à rêver, c’est-à-dire six années pleines, nous éloigne de la réalité du rêve en diminuant son importance, en la réduisant à la seule expérience onirique durant le sommeil. En fait, l’homme passe la plus grande partie de sa vie à rêver. Ainsi, écoutant attentivement son professeur, l’étudiant passe, par intermittence, la plus grande partie du cours dans cette autre dimension qui sans aller « jusqu’à la lune » le transporte dans un ailleurs fait de souvenirs, de désirs, de craintes ou de plaisir. Passons-nous la plus grande partie de notre vie dans la lune ou sur terre ? La métaphore est tentante, mais il est plus juste de dire que nous passons notre temps entre les deux, dans le trajet. Nous passons tous, le plus souvent à notre insu, une majeure partie de notre temps entre les deux rives de l’ici et du là-bas. Cet entre-deux est le lieu où se joue la condition humaine ; nous ne sommes ni des automates complètement absorbés dans notre action, ni des spectres totalement étrangers au monde sensible. La condition humaine se joue dans ce mouvement, va-et-vient comme une danse, entre les deux réalités, réalité de l’ici et maintenant et réalité du là-bas et intemporel. Mouvement permanent évoqué par l’étymologie du verbe rêver, de l’ancien français desver « perdre le sens », esver « vagabonder » rattaché au latin populaire exvagus « qui va à l’aventure, qui erre ça et là ». Les langues germaniques proposent une racine différente mais l’idée du mouvement est toujours là : la racine draugr (Traum en allemand, Dream en anglais) désigne un mort qui revient hanter les vivants. Il y a donc ce lien fort qui unit le rêve au monde de l’au-delà. Dans les ouvrages anciens, scientifiques ou littéraires, philosophiques ou religieux, le mot songe est plus souvent usité. Du latin somnium « rêve », le songe est aussi utilisé pour désigner « une chimère, l’extravagance ». Au XVème siècle, « songer » signifiait « laisser errer sa pensée », puis « penser », « réfléchir » (quand je songe que….). Le rapprochement paronymique a souvent été fait entre songe et mensonge. Le passage du mot songe au mot rêve (utilisé plus couramment à partir du XVIIème siècle) est contemporain d’un nouveau regard porté sur le rêve, regard à la fois plus physiologique et plus psychologique. Bien que ce changement de perspective ne soit pas le fait d’un seul homme, il peut être illustré par le philosophe Descartes qui d’une part, situe ce point de perspective à l’endroit même du cogito et d’autre part décrit, dans son Traité de l’homme (1633), une physiologie du rêve hors de toute approche surnaturelle et hors de toute dimension collective, qui considérerait, le rêve comme un savoir extérieur, un lien avec une parole extérieure. Depuis Descartes, la pensée est confondue avec la conscience : je pense donc je suis. Cette nouvelle perspective est contemporaine des découvertes de l’optique avec Kepler et de ses implications dans l’ordre de la connaissance et de la compréhension. Il est bien loin le temps où le poète grec, Pindare, pouvait dire : « L’homme est le rêve d’une ombre ». Dans l’Antiquité et en raison de sa part divine, l’homme est à la fois inaccessible comme une ombre qui se dérobe, et tellement prévisible dans l’ordre de sa destinée. La divination était la voie souveraine pour éclairer le mystère de cette destinée. Elle était un mode de lecture de la réalité, une manière de « voir » dans un monde où, justement, la vision constituait le premier mode de connaissance. Même au cœur du rêve… les Grecs ne disaient pas « j’ai fait un rêve », mais « j’ai vu en rêve »...
Source INREES
JE REVE DONC JE SUIS.....
Je rêve, donc je suis !
© © RMN / Thierry Le Mage
Nous sommes en novembre 1619, Descartes a 23 ans. Il s’est engagé comme soldat dans les troupes du duc de Bavière et stationne à Ulm, sur les bords du Danube. C’est ici qu’il prend ses quartiers d’hiver en louant un poêle. Le terme désigne à l’époque une chambre possédant un fourneau de faïence alimenté en bûches par l’extérieur. La température y est douce et constante, l’hôte pouvant y séjourner sans être importuné ni par la fumée, ni par les allées et venues des domestiques chargés de nourrir le feu. Le jeune René, qui a mené de brillantes études chez les Jésuites, s’adonne là à son exercice préféré : celui de la réflexion car il a pour grand projet de bâtir les fondements d’une mathématique universelle. Rien de moins. C’est plein de cette noble ambition qu’il s’endort donc ce soir là. Le reste de cette nuit agitée par trois rêves lourds de sens marquera à jamais son existence. Et c’est son biographe, Adrien Baillet, qui nous rapporte cet événement singulier dans La Vie de Monsieur Descartes :
« Après s’être endormi, son imagination se sentit frappée de la représentation de quelques fantômes qui se présentèrent à lui, et qui l’épouvantèrent de telle sorte que, croyant marcher par les rues, il était obligé de se renverser sur le côté gauche pour pouvoir avancer au lieu où il voulait aller, parce qu’il sentait une grande faiblesse au côté droit (...). Il tâcha de gagner l’église du collège, où sa première pensée était d’aller faire sa prière; mais s’étant aperçu qu’il avait passé un homme de sa connaissance sans le saluer, il voulut retourner sur ses pas, et il fut repoussé avec violence par le vent qui soufflait contre l’église. Dans le même temps il vit au milieu de la cour du collège une autre personne, qui l’appela par son nom, et lui dit que, s’il voulait aller trouver Monsieur N, il avait quelque chose à lui donner. Descartes s’imagina que c’était un melon qu’on avait apporté de quelque pays étranger (…). Il se réveilla sur cette imagination (…), fit une prière à Dieu pour demander d’être garanti du mauvais effet de son songe. Il se rendormit, après un intervalle de près de deux heures dans des pensées diverses sur les biens et les maux de ce monde. Il lui vint aussitôt un nouveau songe, dans lequel il crut entendre un bruit aigu et éclatant, qu’il prit pour un coup de tonnerre. La frayeur qu’il en eut le réveilla; et ayant ouvert les yeux, il aperçut beaucoup d’étincelles de feu répandues par la chambre (...). Un moment après, il eut un troisième songe, qui n’eut rien de terrible comme les deux premiers. Dans ce dernier, il trouva un livre sur sa table (…), voyant que c’était un dictionnaire, il en fut ravi dans l’espérance qu’il pourrait lui être fort utile. Dans le même instant, il se rencontra un autre livre sous sa main. Il trouva que c’était un recueil des poésies de différents auteurs, intitulé
Ces rêves, consignés dans un document qu’il gardera précieusement jusqu’à sa mort, Descartes les prendra très au sérieux. Tout particulièrement le dernier : il y verra une injonction claire à dédier son existence à la recherche de la vérité scientifique. Et c’est ainsi qu’il vivra. Reste, pour nous, lecteurs contemporains, à
D'autres ont aimé...
© © RMN / Thierry Le Mage
Nous sommes en novembre 1619, Descartes a 23 ans. Il s’est engagé comme soldat dans les troupes du duc de Bavière et stationne à Ulm, sur les bords du Danube. C’est ici qu’il prend ses quartiers d’hiver en louant un poêle. Le terme désigne à l’époque une chambre possédant un fourneau de faïence alimenté en bûches par l’extérieur. La température y est douce et constante, l’hôte pouvant y séjourner sans être importuné ni par la fumée, ni par les allées et venues des domestiques chargés de nourrir le feu. Le jeune René, qui a mené de brillantes études chez les Jésuites, s’adonne là à son exercice préféré : celui de la réflexion car il a pour grand projet de bâtir les fondements d’une mathématique universelle. Rien de moins. C’est plein de cette noble ambition qu’il s’endort donc ce soir là. Le reste de cette nuit agitée par trois rêves lourds de sens marquera à jamais son existence. Et c’est son biographe, Adrien Baillet, qui nous rapporte cet événement singulier dans La Vie de Monsieur Descartes :
« Après s’être endormi, son imagination se sentit frappée de la représentation de quelques fantômes qui se présentèrent à lui, et qui l’épouvantèrent de telle sorte que, croyant marcher par les rues, il était obligé de se renverser sur le côté gauche pour pouvoir avancer au lieu où il voulait aller, parce qu’il sentait une grande faiblesse au côté droit (...). Il tâcha de gagner l’église du collège, où sa première pensée était d’aller faire sa prière; mais s’étant aperçu qu’il avait passé un homme de sa connaissance sans le saluer, il voulut retourner sur ses pas, et il fut repoussé avec violence par le vent qui soufflait contre l’église. Dans le même temps il vit au milieu de la cour du collège une autre personne, qui l’appela par son nom, et lui dit que, s’il voulait aller trouver Monsieur N, il avait quelque chose à lui donner. Descartes s’imagina que c’était un melon qu’on avait apporté de quelque pays étranger (…). Il se réveilla sur cette imagination (…), fit une prière à Dieu pour demander d’être garanti du mauvais effet de son songe. Il se rendormit, après un intervalle de près de deux heures dans des pensées diverses sur les biens et les maux de ce monde. Il lui vint aussitôt un nouveau songe, dans lequel il crut entendre un bruit aigu et éclatant, qu’il prit pour un coup de tonnerre. La frayeur qu’il en eut le réveilla; et ayant ouvert les yeux, il aperçut beaucoup d’étincelles de feu répandues par la chambre (...). Un moment après, il eut un troisième songe, qui n’eut rien de terrible comme les deux premiers. Dans ce dernier, il trouva un livre sur sa table (…), voyant que c’était un dictionnaire, il en fut ravi dans l’espérance qu’il pourrait lui être fort utile. Dans le même instant, il se rencontra un autre livre sous sa main. Il trouva que c’était un recueil des poésies de différents auteurs, intitulé
Ces rêves, consignés dans un document qu’il gardera précieusement jusqu’à sa mort, Descartes les prendra très au sérieux. Tout particulièrement le dernier : il y verra une injonction claire à dédier son existence à la recherche de la vérité scientifique. Et c’est ainsi qu’il vivra. Reste, pour nous, lecteurs contemporains, à
mercredi 23 mai 2012
Comment influencer la qualité de ses rêves?
Pour que vos rêves
deviennent réalité...
Comment accéder au rêve lucide
D’autres innovations technologiques ont déjà été mises au point par le passé pour introduire la conscience dans le rêve, comme une sonde nasale vibrante ou un masque qui détecte l’entrée en sommeil paradoxal du dormeur et lui envoie de légers signaux lumineux sans le réveiller, mais pour le psychanalyste, rien ne vaut les « méthodes naturelles ». Par exemple, « vous pouvez vous demander plusieurs fois dans la journée : "Suis-je en train de rêver ?" Vous allez ainsi vous habituer à vous poser la question jusque dans le rêve. Une croix ou un point au creux de votre main peut vous aider à vous souvenir de faire cet exercice. A chaque fois que vous yeux se poseront dessus, vous y penserez. Vous pouvez aussi apprendre à maîtriser l’arrêt sur image afin d’installer une attention pendant votre sommeil. L’exercice consiste à choisir un plan fixe, par exemple en regardant régulièrement vos deux mains en face de vous et à intégrer cette image pour avoir le réflexe de vous en servir pendant le rêve quand celui-ci vire au cauchemar. Si un loup est en train de manger votre mère, vous allez alors imaginer ce plan fixe de vos mains, introduisant ainsi la conscience dans votre rêve. Vous pourrez alors en changer le scénario et faire en sorte que cette scène insoutenable s’arrête, ou qu’à l’inverse, ce soit votre maman qui mange le loup ! » Autres astuces utilisées dans de nombreuses cultures pour « nettoyer ses rêves » : se dire que ces mauvais rêves ne reviendront plus et glisser une pierre qui protège des cauchemars sous son oreiller, comme le quartz rose ou la pierre de soleil, boire des infusions de plantes relaxantes ou encore se servir d’huiles essentielles. Bien sûr, précise Marc-Alain Descamps, « ce ne sont que des adjuvants ».
Du rêve ordinaire au rêve de puissance
Si nous passons environ un tiers de notre vie à dormir, la majeure partie de nos rêves – pour peu qu’on s’en souvienne au réveil - ne trouve pas toujours de sens, et ne s’avère ni instructive ni révélatrice. « C’est ce qu’on appelle les rêves ordinaires ou nuls, bâtis sur des réminiscences banales de ce qu’on a fait les trois ou quatre jours précédents. » Et puis, il y a les songes, ces rêves positifs, « de beauté, de pouvoir ou puissance », nets, précis, expérimentaux, « avec une autre texture » qui nous mettent en contact avec des forces, des êtres, des éléments, des situations, des informations, auxquels on ne peut accéder en état de veille. « Ce sont ceux dont on n’oublie aucun détail, et qui nous réveillent exaltés, tremblants, avec le sentiment d’avoir atteint un autre niveau de réalité, exploré une autre dimension, explique Marc-Alain Descamps. Comme voler dans les airs, sauter en même temps toutes les marches d’un escalier, traverser les murs, marcher sur l’eau, parler aux animaux. Il y a aussi le rêve où l’on se voit sortir de son corps. Celui où on va parler avec un proche défunt et autres entités qui n’existent pas dans la réalité matérielle. Celui où l’on va anticiper l’avenir ou avoir une vision de vérité. Il y a aussi le rêve d’enseignements où vous pouvez rencontrer un maître, votre maître, qui vous transmettra un savoir dont vous n’avez a priori pas connaissance. Enfin, conclut-il, ces rêves de puissance peuvent aussi être créatifs. De nombreux artistes – peintres, écrivains, musiciens – ont rêvé d’une œuvre avant de la concrétiser. Des scientifiques aussi comme le chimiste allemand Friedrich August Kekulé qui a découvert ainsi la structure de la molécule du benzène. » Est-il possible de vivre une telle expérience sur commande comme on choisirait un beau voyage sur un catalogue de vente par correspondance ? « Les songes se méritent !, confie Marc-Alain Descamps. Vous pouvez en faire la requête mais il ne faut pas être dans la volonté, dans le mental. Il est essentiel d’être dans l’intention, surtout pas dans l’ego. Ensuite, il vous faut incarner ce désir. Comment ? Par exemple en inventant une danse ou un slam où vous allez répéter, pendant un quart d’heure, votre demande. Vous pouvez aussi l’écrire en grand et contempler cette phrase chaque soir en vous endormant. Si vous voulez voir apparaître un proche défunt en rêve, regardez sa photo et demandez-lui aussi. La patience est de mise car ce rêve peut se réaliser trois mois plus tard ! Détail important, il ne faut pas avoir sombré dans l’alcool, ni être dans la goinfrerie, ce sont deux ennemis des rêves positifs ! Si votre rêve de puissance ne se présente toujours pas, demandez-vous alors si c’est bien votre voie. Dernier conseil : l’ensemencement : raconter vos rêves sur un dictaphone et les réécouter régulièrement le soir avant de vous coucher. Ainsi, vous sèmerez des graines dans votre inconscient qui, en germant, vous ouvriront l’accès à d’autres mondes. »
mardi 3 avril 2012
LES GRANDS RÊVES.
Au commencement était le rêve...
Je me plais à imaginer une tribu regroupée autour d’un feu ; la nuit est froide et cela fait plusieurs jours que les chasseurs n’ont pas ramené de gibier. Dans le regard des uns et des autres, on peut lire la faim et la peur. Au petit matin, une femme du groupe raconte que durant son sommeil, son âme a voyagé de l’autre côté de la montagne, et que là, elle a vu un troupeau de bisons. Elle les a vus paître et ruminer. Elle a senti leur odeur et leur force. Ne doutant pas une seconde de ce que cette femme a pu voir et ressentir, les chasseurs de la tribu s’en vont de l’autre côté de la montagne et reviennent le soir même avec assez de gibier pour tout le monde.
jeudi 1 mars 2012
J'entends cette phrase "on a retrouvé Madame soleil et Madame IRMA "
jeudi 23 février 2012
Les rêves lucides
Les rêves lucides« Je suis en train de rêver, je le sais. Mais je vais modifier mon rêve à ma guise, sans me réveiller. » Si vous avez déjà vécu cette expérience, vous avez fait un « rêve lucide ».
Les recherches affirment qu’ il est possible de le provoquer régulièrement…
Les banales préoccupations du quotidien
Le premier ouvrage sur le sujet paraît en 1867, anonymement. L’auteur est en fait un dénommé Marie Jean Léon d’Hervey de Saint-Denys, personnage obsessionnel en la matière. À 13 ans, ce jeune marquis et futur sinolog[...]La nouvelle science des rêves
La nouvelle science des rêves
la clef des songes
http://www.scienceshumaines.com/la-clef-des-songes_fr_24068.html