Être voyant et /ou médium en 2024.
De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.
Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,
L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.
De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.
Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.
Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .
Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider
mardi 10 juillet 2018
jeudi 14 janvier 2016
SE CONNECTER À DES ÂMES DE CHATS
Interview de Guillaume, fondateur des Châmes http://elisheanportesdutemps.terrenouvelle.ca
Peux-tu décrire ton projet les « Châmes »?
Les Châmes sont des âmes de chats qui vous veulent du bien.Ils sont un symbole qui incarne la possibilité d’une vie après la vie, et diffusent des ondes positives dans votre quotidien. C’est un projet d’illustrations spirituelles dans lequel chaque tableau est accompagné d’une petite phrase de réflexion. Je travaille également sur pas mal de choses, dont un roman qui racontera l’histoire d’une âme de chat dans l’au-delà.
Quel est ton parcours et comment en es-tu venu à créer les « Châmes »?
Je m’appelle Guillaume et j’ai 30 ans. Depuis mon plus jeune age, j’ai toujours eu des intuitions sur l’après vie, et j’ai toujours «su» que je ferai quelque chose d’important de ma vie, et quand je dis important ce n’était pas présomptueux, mais quelque chose qui avait du sens. Après avoir fait une école d’art, je me suis installé à mon compte en tant que directeur artistique et motion designer, mais il me manquait quelque chose. J’ai toujours su que j’aurais un projet d’illustration avec un personnage récurent et que cela me nourrirait intellectuellement, artistiquement.mardi 23 octobre 2012
LES POUVOIRS INEXPLIQUÉS DES ANIMAUX.
Les pouvoirs inexpliqués des animaux
Rupert Sheldrake
Résumé : Dans le monde entier, des milliers de propriétaires d'animaux témoignent : des chiens retrouvent le chemin de leur maison alors qu'ils en étaient séparés de centaines de kilomètres. D'autres hurlent au moment précis où leur maître meurt. Des chats consolent des malades. Des chevaux sentent l'imminence d'une catastrophe. Des perroquets, des pigeons, des moutons et même des poussins démontrent des facultés hors du commun : télépathie, voyance, télékinésie, don de guérison. Comment expliquer ces phénomènes ? Au terme d'une étude de cinq années, Rupert Sheldrake, biologiste célèbre, prouve l'existence d'un lien invisible unissant les humains, les animaux et l'environnement. Il nous livre des histoires étonnantes, souvent émouvantes, et explique comment mesurer les capacités psychiques de son animal.
mardi 3 juillet 2012
LES ANIMAUX ET LA PENSEE ?
L'intelligence dans la nature avec Rupert Sheldrake
Lui-même en a recueilli plus de 5000, qui suggèrent souvent que les animaux peuvent capter la pensée humaine. Les chats par exemple, semblent avoir une propension à disparaître le jour où ils doivent aller chez le vétérinaire, même quand leur maître ne leur a donné aucun indice.
« Quand les gens essaient d’expliquer le comportement des animaux, ils sont paresseux, ils imaginent que c’est grâce à leur flair, à leur ouïe… » C’est l’une des explications hâtivement avancée pour expliquer que les chiens savent quand leur maître rentre à la maison : « Le chien doit avoir senti. » A une distance de plusieurs kilomètres ? « Les chiens ont un odorat très développé. » Sheldrake s’est adressé au seul organisme menant des recherches sur le sujet : la police britannique. Ses conclusions : Si l’odorat du chien est vraiment sensible et si le vent souffle à flux constant dans la bonne direction, l’animal peut sentir à un demi-mile, c'est-à-dire en gros un kilomètre. « Pour les sceptiques, parler des sens très aiguisés des animaux est un argument facile. Mais il n’y a aucune preuve » conclut le biologiste.
Afin de tester la capacité de certains chiens à prévoir le retour de leur maître, il a fait revenir ces derniers à des heures aléatoires. L’hypothèse du comportement routinier a ainsi pu être écartée. Pour les besoins de l’expérimentation, les propriétaires d’animaux ont emprunté un taxi plutôt que leur propre véhicule. L’animal ne pouvait donc pas identifier de bruit familier. Le protocole imposait également que tous dans la maison ignorent à quelle heure le propriétaire de l’animal devait revenir. Ce dernier prenait le chemin du retour dès que l’expérimentateur le bipait.
Dans l’une de ces expérimentations, le chien est filmé chez lui pendant que sa maîtresse, filmée elle aussi, va se promener en ville. L’animal reste couché au pied d’un fauteuil, amorphe, jusqu’à ce qu’elle décide de rentrer. Le minutage en temps réel des deux films permet une vérification précise : à la seconde où sa maîtresse prend la décision de revenir à la maison, et avant même qu’elle soit montée dans le véhicule qui doit la ramener chez elle, le chien se dirige vers la porte. Ce sont donc ses intentions que l’animal aurait perçu !
Rupert Sheldrake a répété l’expérience à plusieurs reprises avec le même résultat, écartant l’hypothèse d’une coïncidence. Le chien filmé était certes « particulièrement sensible, » mais ce n’est pas un cas isolé. « Dans notre travail de recherche, nous avons environ 800 cas de chiens qui savent quand leur maître revient à la maison, et 500 cas de chats, les félins étant, non pas moins sensibles que les chiens, mais plutôt moins intéressés ! »
D’autres types de comportements ont été répertoriés : «Certains chiens savent quand leur maître a décidé de les emmener en promenade, même si ce n’est pas à une heure habituelle et que ce dernier est encore assis à sa table de travail, par exemple, se contentant de penser - tiens je vais partir en ballade… Le chien fait alors irruption en courant dans la pièce. Des animaux savent quand leurs maitres ont besoin d’aide, sont malades, ils vont vers eux et semblent les aider. Des chiens sont capables de sentir quand leur maitre va avoir une attaque d’épilepsie et de les prévenir environ une demi-heure avant. »
Certains de ces comportements témoignent de l’existence d’un lien télépathique entre l’animal et l’homme. Inutile pour autant de crier au paranormal. Selon Rupert Sheldrake, la télépathie serait une capacité tout à fait naturelle, « les animaux sauvages communiquent entre eux par ce moyen parce que c’est nécessaire à leur survie et cela a été favorisé au cours de l'évolution. Quand les loups se séparent, pendant que les plus âgés partent chasser sur un périmètre de plus d'une centaine de kilomètres, ils restent en contact télépathique au cas où l'un d'eux aurait besoin d'aide. Ces phénomènes sont normaux, dans le sens où la plupart des animaux les manifestent. Plus que paranormaux, ils sont para théoriques », c'est-à-dire inexplicables par les théories actuelles.
Source INREES
mercredi 21 mars 2012
UN THERAPEUTE PAS COMME LES AUTRES !!!
Des animaux thérapeutes
On appelle cela la zoothérapie. « Le plus original et le plus innovant ici, souligne le Professeur Krolak-Salmon, neurologue, médecin-chef et heureux propriétaire du labrador, c'est le travail du chien dans les exercices de rééducation de personnes âgées, après un accident vasculaire cérébral (AVC). ». « Andrée, 79 ans, a été victime d’un AVC fin 2011, explique Philippe Bonnet, kinésithérapeute du service. A raison de deux ateliers par semaine, Eliott a très vite favorisé l’élargissement de son champ de vision. Ne pouvant plus se repérer dans l’espace, la présence du labrador lui permet de ne plus rester fermée sur elle-même, et de relever la tête. Le regard est le premier sens qui permet l'ouverture vers l'extérieur. Au début, elle se concentre sur l’animal pour le suivre puis ce sera sur l'environnement. Le chien lui sert de repérage visio-spacial. » Ainsi, obéissant aux ordres du thérapeute, Eliott se déplace de gauche à droite pour « ouvrir le champ perceptif visuel » de l'octogénaire qui, appuyée sur sa canne, parvient à mieux de repérer dans l’espace et à faire quelques pas.
Le chien n’est pas le seul animal utilisé en zoothérapie. Le cochon d’Inde, les équidés ou encore les dauphins peuvent eux aussi avoir un rôle de médiateur thérapeutique.
Si la zoothérapie, contrairement aux Etats-Unis, est encore peu répandue en France, les bienfaits thérapeutiques des animaux sur l’Homme sont reconnus depuis des siècles. En 1792, en Angleterre, l’homme d’affaires philanthrope William Tuke fonde le York Retreat. A cette époque les malades mentaux, traités très durement, sont enfermés, enchaînés et battus. En leur proposant de s’occuper d’animaux, il va s’apercevoir que ces psychopathes vont se responsabiliser, développer un lien d’attachement, et reconstruire une estime d’eux-mêmes. Après la première guerre mondiale, les infirmières du Pawling Army Air Force convalescent Hospital de New York utilisaient des chiens comme aide à la thérapie pour les soldats traumatisés. Au 19ème siècle, durant la guerre de Crimée, Florence Nightingale, fondatrice des techniques infirmières modernes, et pionnière dans l’emploi d'animaux à titre thérapeutique, gardera une tortue à l’hôpital après avoir remarqué que ceux-ci avaient le pouvoir de réconforter les gens et de diminuer leur anxiété. En 1953, c’est Boris Levinson, psychiatre américain, qui va véritablement développer les possibilités de l’animal en thérapie après avoir découvert par hasard l’influence positive de son propre chien sur un jeune patient autiste. L’enfant emmuré dans son mutisme refusait toute communication avec le monde extérieur. Resté par inadvertance dans le cabinet, son chien s’approche du garçon, le renifle, le lèche. Et là, comme par miracle, l’enfant va, pour la première fois, s’exprimer avec le chien. Il demandera même à revenir pour le revoir. C’est ainsi qu’est né la « Pet Facilitated Psychotherapy » (psychothérapie facilitée par l’animal). D’autres thérapeutes comme Friedmann, Katcher, Lynch ou Thomas vont mettre en évidence les effets de l’animal sur la santé. Par exemple, le simple fait de caresser un animal fait baisser la tension artérielle et permet de diminuer la mortalité chez les sujets cardiaques. Le Dr Serpell de Cambridge a même démontré que l’animal familier permettait aux patients de vivre plus vieux et en meilleur santé avec, chez les personnes âgées, une diminution des fractures du col du fémur. Phénomène assez récent, les animaux font leur entrée dans certains services hospitaliers. Selon François Beiger, fondateur et directeur général de l’Institut Français de Zoopathie, une trentaine d’hôpitaux en France auraient aujourd’hui adopté cette technique thérapeutique. « Depuis 2009, de plus en plus d’établissement de santé nous envoient des thérapeutes, des infirmiers, des kinés ou encore des psys en formation, explique-t-il. J’en suis ravi de cet engouement mais il ne faut pas qu’il soit uniquement induit par un effet de mode ! Je constate que, depuis deux ans, beaucoup de jeunes gens veulent devenir zoothérapeutes et me contactent pour me demander de les former. Mais attention, ce n’est pas un métier ! Seuls les professionnels du milieu médical déjà familiarisés avec ces types de pathologies peuvent y accéder. ».
Objectif 2013 du Professeur Krolak-Salmon et de son Unité neuro-vasculaire de la personne âgée du CHU de Lyon : établir pour la première fois en France, un programme de travail pour démontrer l’efficacité de la zoothérapie au moyen d’une étude clinique sur deux groupes de patients ayant la même pathologie, l’un aidé du chien, l’autre non. « Pour l’instant, les résultats restent considérés comme plus ou moins subjectifs et abstraits, concède Philippe Bonnet. Alors même si cette rééducation très spécifique ne doit pas se substituer aux autres, cette étude peut offrir à la science une autre ouverture ».
Suite à un AVC, Marie, 77 ans, avait récupéré une bonne partie de sa motricité. Subsistait une hémi-négligence à gauche. « Après plusieurs contacts physiques réguliers avec Eliott, elle est parvenue à reprendre conscience de ce côté gauche et à retrouver progressivement l’utilisation de sa main », raconte Philippe Bonnet, qui s’est occupée d’elle. Si cette expérimentation au sein du CHU de Lyon en est encore « aux balbutiements, on a déjà pu constater que la présence de ce chien était une vraie valeur ajoutée dans le travail de rééducation. Et un énorme facteur de motivation pour les soignants comme pour les patients. ».
jeudi 8 mars 2012
Il faut le voir pour le croire !
La géobiologie au secours des animaux et des hommes
« Il arrive, dans d’autres exploitations, que les vaches souffrent de mammites ou de comptage cellulaire élevé, précise le vétérinaire-géobiologue, ce qui va rendre le lait impropre à la consommation. ». Mais les vaches ne sont pas les seules victimes. Dans certains élevages porcins, les cochons deviennent très agressifs, allant jusqu’à s’entretuer, parfois même s’entredévorer.
Des techniques inexpliquées
Mais quelle est la nature d’un tel phénomène ? Qu’est-ce que la géobiologie et surtout comment ça marche ? « Il existe, depuis toujours, des zones de failles telluriques qui provoquent des nuisances naturelles c’est-à-dire des émissions d’ondes électromagnétiques naturelles générées par la terre, explique Jean-Marie Devimeux, lui aussi géobiologue. Durant des milliers d’années, les anciens ont tenu compte de ces zones géopathogènes pour se préserver de ces perturbations naturelles générées par le sol. On disposait même des pierres pour harmoniser certains sites, comme les fameux menhirs par exemple, qui ne sont pas installés par hasard mais bien sur des lignes de force. Au fil du temps, ces préoccupations, malheureusement, ont été délaissées, particulièrement en Occident. Aujourd’hui, on construit des installations n’importe où. Et à chaque fois qu’on les place mal, la terre réagit. »
« Ces dernières décennies, avec l’avènement des nouvelles technologies, on a en effet observé une augmentation des nuisances perturbant la santé des organismes vivants –stress, troubles de croissance, du sommeil, perte en fertilité et autres maladies graves, ajoute le vétérinaire Philippe Arzul. Parce qu’à ces nuisances naturelles, l’homme y a ajouté des nouvelles perturbations qu’on appelle les nuisances géo-industrielles – châteaux d’eau, pylônes électriques, éoliennes, antenne de téléphonie mobile- qui vont amplifier ces phénomènes. Conduites par le sol, ces nuisances peuvent parfois s’étendre sur des distances importantes. Mal placées, ces structures verticales avec une mise à la terre créent des perturbations sur tout le vivant. Les animaux, les plantes mais aussi les humains. Pour neutraliser ces nuisances, on va effectuer un travail sur le taux vibratoire du lieu. Ce travail n’a aucune réalité scientifique. Comment ça marche ? Je n’ai aucune explication rationnelle. Ce qui est important, c’est que l’on observe des résultats très positifs un peu partout ! »
Pour le bien-être des humains aussi
Gwenaël Thébaud, éleveur bovin dans le Morbihan, s’est lui aussi fait « beaucoup de mouron » pour ses vaches. Une fatigue croissante, une chute de la production, des boiteries et de graves problèmes de fécondité qui mettaient en péril son exploitation. Après l’intervention de Philippe Arzul, il a constaté les mêmes améliorations. « En janvier 2010, mon troupeau a commencé à décliner. Durant six mois, j’en ai cherché la cause. C’est alors que Philippe Arzul est intervenu. L’amélioration a été quasi immédiate. Grâce à lui, j’ai pris conscience qu’en décembre 2009, soit un mois avant le début de mes problèmes, une antenne de téléphonie mobile avait été installée à trois kilomètres de mon terrain sur une faille d’eau souterraine qui s’étendait jusque sous mon exploitation, créant alors un stress électrique important sur mes vaches. Il se trouve que cette faille passe aussi sous ma maison. J’ai alors réalisé pourquoi ma femme, ma fille et moi-même souffrions nous aussi de fatigue et de troubles du sommeil. Et j’ai bien l’intention de demander au géobiologue d’intervenir chez moi ! »
Philippe Arzul et Jean-Marie Devimeux font tous deux partie de l’association Prosantel, un réseau de scientifiques, d’ingénieurs et de géobiologues qui étudient ces nuisances invisibles et développent des protocoles d’analyse et de traitements de ces troubles que les autorités sanitaires n’ont jusqu’ici pas encore pris en considération. Il faut dire que ces phénomènes telluriques inexpliqués et les solutions qui sont proposées pour y remédier ont de quoi surprendre, pourtant, en Asie, Hong Kong par exemple, les forces telluriques sont prises très au sérieux, au point qu’aucune construction, même industrielle, n’est envisagée sans l’intervention de spécialistes en Feng Shui. Une méthode ancestrale considérée comme indispensable au bien-être de la maison, des entreprises et de tous lieux abritant des êtres vivants. Le Feng shui, une déclinaison orientale de la géobiologie ?
La France s’ouvre peu à peu à ces techniques, Jean-Marie Devimeux reste optimiste : « Des éleveurs, pourtant très sceptiques, ont approché cette discipline, presque contraints et forcés après avoir tout essayé pour tenter de sauver leur troupeau. Une fois qu’ils ont constaté l’efficacité du dispositif, ils en parlent aux autres éleveurs. Le bouche-à-oreille fonctionne bien. J’en connais même qui, par la suite, ont décidé de se former à la géobiologie. Nous avons également eu des demandes d’intervention de la part d’entreprises d’installation éolienne. Ils trouvent nos pratiques un peu bizarres, un peu « druidesques » mais ils constatent qu’après notre passage, les personnes qui se plaignaient de troubles divers constatent un mieux. Si l’on se plait à dire que pour les humains, tout est psychologique, on ne peut toutefois pas taxer les animaux de menteurs ! »