Être voyant et /ou médium en 2024.
De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.
Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,
L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.
De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.
Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.
Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .
Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider
dimanche 1 septembre 2013
UNE GRANDE INTERROGATION AUJOURD'HUI ......
mardi 28 mai 2013
Voir des esprits et communiquer avec eux fait partie de mon quotidien, mais je ressens toujours une forme d’émerveillement. Face aux preuves de survie, d’abord, mais aussi quand je vois combien, par mon intermédiaire, certains retrouvent la paix et l’espoir.
lundi 22 avril 2013
Qu'est-ce qu'un médium ? (Ludovic Dubs)
Souvent assimilée à la voyance, la médiumnité n'a pourtant absolument rien à voir avec la cartomancie. Alors qu'est-ce qu'un médium ?
Un voyant utilise un support divinatoire (tarot, boule de cristal...) ou des flashs (voyance pure) pour aider à répondre à des questions ou pour permettre à une personne de prendre de bonnes décisions dans les moments difficiles de sa vie. Certains de ces voyants ne sont ni plus ni moins, que des cartomanciens : une personne interprétant des signes dans un support divinatoire pour en récolter des éléments de réponse.
Mais alors qu'est-ce que la médiumnité dans tout cela ?
vendredi 18 janvier 2013
CE MÉDIUM QUI SOMMEILLE EN NOUS .
Ce médium qui sommeille en nous
(en français,vision à distance) est une pratique intuitive permettant de développer l’intuition et les perceptions, principalement pour obtenir des informations spécifiques, relatives à une problématique définie, physiquement inaccessibles par des moyens conventionnels. Cette méthode englobe un ensemble de protocoles et de techniques qui ont été développés dans les années 70 aux États-Unis, sur la base des travaux scientifiques menés principalement dans les laboratoires du PEAR, du SRI et de la Mobius Society.
Certaines de ces recherches initiales ont été menées dans le domaine civil (par exemple les travaux de la Mobius Society dirigée par Stephan A. Schwartz), surtout dans les cadres de l’archéologie, de la finance et d’enquêtes. D’autres ont été financées par des organismes militaires (comme la CIA, la DIA…) qui ont par la suite créé une unité de renseignement pour « espions psychiques » : c’est le fameux programme Star Gate. Le plus célèbre remote viewer : Joe Mc Moneagle, espion extrasensoriel engagé par la CIA, la NASA et le FBI pour des missions très spéciales comme la récupération d'otages. Les résultats qu'il a obtenu lui ont valu d'être plusieurs fois récompensé. Entretien avec Alexis Tournier, médium depuis 15 ans, devenu le premier Remote Viewer français.
Comment vous êtes-vous intéressé au remote viewing ?
J’ai accepté de participer, il y a quelques années, à une série d’expériences menées par des chercheurs et des étudiants en parapsychologie de l’Institut Métapsychique International (IMI). Ayant moi-même un parcours scientifique, j’avais très envie de voir s’il était possible de comprendre le fonctionnement psychique et intuitif de la capacité de voyance, une activité qui, à la base, n’a aucun fondement rationnel. Je devais, comme les autres voyants qui participaient à ces protocoles de tests, décrire le contenu d’une enveloppe fermée. C’est dans ce cadre-là que j’ai appris qu’il existait des techniques élaborées de vision à distance, que tout le monde est capable d’utiliser. J’ai alors voulu me former au Controlled Remote Viewing avec d’anciens viewers militaires américains. Cette méthodologie est née des différentes recherches sur les phénomènes PSI - télépathie, états modifiés de conscience, clairvoyance... – menées par deux physiciens américains, le Dr Hal Puthoff et le Dr Russell Targ. Ensemble, ils ont proposé une approche scientifique des perceptions intuitives. Ce qui est intéressant, c’est que le Remote Viewing remet en questions le « don » - comme on l’appelle à tort - de voyance car les différentes recherches effectuées tendent à prouver que ces capacités intuitives sont finalement à la portée de tous. Cela ne nécessite-t-il pas certaines prédispositions ?
A moins d’avoir des problèmes d’ordre psychologique ou un dérèglement psychoémotionnel important, je ne connais personne qui ne soit jamais parvenu à trouver des éléments tangibles du contenu d’une enveloppe. Suffit-il de se former au Remote Viewing pour être voyant ?
Disons que plus on s’entraîne, plus on développe son intuition. De nombreux stagiaires que j’ai eus en formation chez Iris Consulting pensaient ne pas avoir une once d’intuition dans la vie. Pourtant, certains se sont avérés très brillants, parfois même bien meilleurs que moi. Leurs résultats étaient parfois stupéfiants, et dignes d’un scénario de science-fiction. Certains pourraient en effet faire de très bons voyants ! Des exemples marquants dont vous vous souvenez ?
Un stagiaire avait pour cible l’animatrice de talk show américaine Oprah Winfrey. Il a senti que c’était une femme, contemporaine, il a également décrit l’environnement show biz dans lequel elle évolue, sans toutefois mettre un nom dessus. Puis, il a senti qu’elle avait toujours un objet dans la main comme un totem ou un emblème de sa fonction. « Elle ne peut s’exprimer sans avoir ce truc-là », a-t-il ajouté. Il a alors pris de la pâte à modeler et sculpté quelque chose qui avait bel et bien une forme de micro. Un autre stagiaire devait trouver un événement récent : le saut en parachute depuis l’espace réalisé par l’autrichien Felix Baumgartner. Il a dessiné une capsule avec un gars qui saute dans le vide, et décrit très clairement les conditions sécurisées, la personnalité aventurière du parachutiste... Dernier exemple, celui d’une autre stagiaire qui avait pour cible la sonde Curiosity envoyée sur la planète Mars. Je me souviens que c’était très drôle car sans bien comprendre de quoi il s’agissait, il soulignait une dichotomie entre le côté totalement désert du lieu et la présence de la technologie.
Quelles différences entre la technique du Remote Viewing et la voyance ?
Pour le Remote Viewing comme pour la voyance, je fais appel aux mêmes facultés, et j’utilise les mêmes canaux. La différence c’est qu’en Remote Viewing, on ne connaît pas la nature de sa cible, on travaille en aveugle, et on doit décrire de la manière la plus précise possible ce qui est contenu dans l’enveloppe, en suivant un protocole précis, sans jamais tomber dans l’interprétation. Si par exemple, je sens que l’objet que je dois trouver a quatre pieds et qu’on peut s’asseoir dessus, je ne dois pas déduire qu’il s’agit d’une chaise. Je dois d’abord me concentrer sur mes sensations premières. En revanche, lors d’une séance de voyance, le consultant, assis face à moi, interagit, me pose des questions. Je vais donc sentir son angoisse, ce qu’il a envie de savoir, ce qu’il désire entendre. J’engrange aussi inconsciemment tout un tas d’informations non verbales - son apparence, la manière dont il s’exprime, sa gestuelle... Des éléments perturbateurs qui biaisent mon ressenti, et donnent lieu à des interprétations. Pour rester dans l’information brute, il faudrait que je ne voie pas la personne, et que je ne l’entende pas. C’est pourquoi, je commence toujours la consultation avant que la personne n’arrive au cabinet. Ce qui me permet d’obtenir de l’information pure. Comment pensez-vous que les viewers comme les voyants captent leurs informations ?
Je pense qu’on se connecte à une espèce de matrice de l’information, à un champ de conscience universel, à une immense base de données invisible. Par un processus inconscient, ces informations sont décryptées par le corps, à travers les cinq sens. C’est comme si on nous téléchargeait des kilooctets de bits informatiques et qu’on se branchait sur le bon logiciel de décodage.
samedi 5 mai 2012
LA SCIENCE ET LES MEDIUMS.
Médiums : Enquête & témoignages
Matt Damon livre de son côté : « George est un personnage profondément solitaire. Sa vie a radicalement changé en l’espace de trois ans, du fait de sa capacité à entrer en relation avec des personnes disparues. Il ressent cela comme une malédiction plutôt que comme un cadeau, car cela l’empêche d’entretenir quelque relation intime que ce soit. »
Quelle est la part de réalité et celle de la fiction dans le scénario écrit par Peter Morgan ? Rien qu’en Occident, des milliers de femmes et d’hommes utilisent professionnellement cette capacité si particulière de « communiquer avec l’au-delà ». Des millions de gens les consultent, peu en parlent. Alors, don ou malédiction ? Sacerdoce ou illusion ? S’agit-il d’un phénomène de société que l’on pourrait réduire à une sorte d’escroquerie, inconsciente de la part de certains médiums, tout à fait consciente pour d’autres ? Est-on devant une illusion collective ? Une forme d’auto-conviction de la part de personnes incapables de surmonter la réalité d’un deuil ? Ou s’agit-il de réelles communications avec l’au-delà ? L’intelligence du film de Clint Eastwood est de ne pas se prononcer, mais de nous permettre de prendre la mesure sereinement, et pleinement, de toute l’étendue du mystère. Et il est vaste ce mystère, car, on le découvre, aucune explication conventionnelle ne permet « d’expliquer » de façon satisfaisante ce phénomène de la médiumnité. Le film ne passe pas sous silence les abus de ces pratiques. Il montre qu’il y a des charlatans, des personnes qui exploitent la détresse humaine - c’est une réalité - cependant Clint Eastwood a choisi de raconter l’histoire d’un homme que tout oppose à ces êtres peu scrupuleux. Une personne véritablement dotée d’une capacité extraordinaire, comme il en existe de très nombreuses, et qui a conscience, à la fois du caractère inexpliqué de ses capacités, mais aussi de ses propres limites. Et c’est cela qui fait de Au-delà un film à la fois bouleversant et authentique.
La science et les médiums
Le médium joué par Matt Damon se connecte aux défunts en prenant les mains des personnes qui souhaitent communiquer avec leurs proches disparus. Instantanément, il obtient des informations, parfois intimes, sur une personne qu’il rencontre pour la première fois de sa vie. Et effectivement, c’est là un des points les plus mystérieux de la médiumnité : lorsque le médium se retrouve devant un client qu’il ne connaît pas, qu’il voit en général pour la première fois, il est capable de lui livrer un nombre plus ou moins important d’informations factuelles, en disant les obtenir de personnes défuntes. La question est : d’où proviennent ces informations ? Des recherches sont menées depuis plusieurs décennies sur le sujet, notamment par des chercheurs comme Gary E. Schwartz, ou Julie Beischel du Windbridge Institute (voir 2E Magazine n°7). Ces recherches consistent à mesurer la nature des informations que sont capables d’obtenir des médiums lors des protocoles rigoureusement contrôlés. Les possibilités « conventionnelles » d’obtenir des informations sur une personne que l’on ne connaît pas sont en premier lieu la fraude ou la supercherie : le médium aurait acquis des informations sur le sujet cible, ou la personne décédée, au préalable. La chercheuse Julie Beischel explique que son protocole de recherche élimine cette possibilité puisque le médium n’a que le prénom de la personne décédée durant toute la durée de l’expérience. Une autre explication conventionnelle — explique-t-elle — est la « lecture à froid », lorsque le médium utilise les indications visuelles ou auditives qu’il perçoit du client afin de présenter des informations qui lui correspondent. Dans les expériences que mène Julie Beischel, la personne qui joue le rôle du client n’est pas physiquement présente dans la même pièce que le médium. Enfin, la personne qui conduit l’expérience ignore également tout du sujet ou des défunts potentiels. Dernière explication possible : l’information fournie par le médium serait si générale qu’elle pourrait s’appliquer à tout le monde. Pour éliminer cette dernière possibilité, Julie Beischel demande au médium de répondre à quatre questions spécifiques sur la personne décédée : description physique, personnalité, passe-temps ou activités et cause de la mort. Les résultats obtenus lors de nombreuses expérimentations successives permettent d’écarter définitivement les explications conventionnelles telles que la fraude, le questionnement directif ou la suggestibilité. Avec ces protocoles, les chercheurs comme Julie Beischel ou Gary Schwartz ont éliminé toute les explications conventionnelles. On ne sait pas comment les médiums obtiennent des informations sur des vivants et des défunts dont ils ignorent tout ! Les chercheurs se retrouvent alors avec uniquement deux hypothèses permettant de rendre compte des résultats obtenus : soit les médiums communiquent vraiment avec des défunts, soit il s’agit d’une forme de télépathie, et cette explication est déjà en soi assez extraordinaire. Selon cette hypothèse, le médium serait capable de « lire » dans l’esprit de la personne qui vient le voir. Il ne parlerait pas à un esprit mais obtiendrait des informations en allant les « piocher » dans la tête de la personne en face de lui, qui elle, les connaît.Toutefois, il ressort que cette forme de télépathie est un acte passif, dans ce cas de figure le médium reçoit des images, des flashs. Or, dans les prétendues communications avec des défunts les médiums parlent de véritables conversations interactives. Plus déterminant encore, dans bien des cas les informations livrées par le médium sont inconnues de la personne qui se prête à l’expérience en tant que client. Comme Gary Schwartz le précise : « Souvent, nous obtenons des personnes que le sujet connaît mais n’attendait pas. D’autres fois, nous obtenons des informations dont le sujet pense qu’elles sont fausses, ou ignore, et dont on constate la véracité plus tard. » Voilà un élément très troublant, car un flash télépathique ne contredit pas ce que pense la personne dans l’esprit de laquelle le médium est venu le puiser. Par ailleurs, comme le souligne Julie Beischel, les lectures psychiques font partie de la pratique de nombreux médiums. Ils parviennent très bien, disent-il, à faire la distinction entre télépathie et communication avec une personne décédée ; le ressenti lié à chacune des situations est différent. C’est quelque chose dont ils ont, en outre, fait l’expérience depuis l’enfance.
En conclusion, l’approche scientifique de la médiumnité permet de conclure, pour reprendre les mots de Julie Beischel, que : « La réception d’information anormale est un fait mais nous ne pouvons pas déterminer d’où elle provient. Les données étayent l’idée de la survie de la conscience, d’une vie après la mort. Un aspect de notre personnalité ou de notre identité continue à exister après la mort physique sous une forme capable de communiquer avec un médium. Les données appuient également d’autres hypothèses sans rapport avec la survie de la conscience : la clairvoyance, la télépathie ou la précognition permettraient aux médiums d’obtenir des informations sans pour autant communiquer avec les morts. Cependant, maintenant que nous avons commencé à travailler sur l’expérience des médiums, nous avons tendance à penser que la survie de la conscience est l’explication la plus appuyée par les données. »