Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

lundi 8 mai 2017

LES 5 CLÉS PÔUR TROUVER L 'HARMONIE


Chronobiologie :
5 clés pour trouver
l'harmonie

Le médecin américain Michael Breus, connu pour être le spécialiste du sommeil a imaginé une nouvelle méthode
pour vivre au plus près de son biorythme.

1. Le secret du mieux-être ne serait pas de savoir comment manger, faire l’amour, pratiquer un sport ou travailler mais plutôt de savoir quand. Comment avez-vous découvert le pouvoir du « Quand », le titre de votre nouvel ouvrage ?

Tout a commencé il y a quatre ans alors que je travaillais avec l’une de mes patientes souffrant de graves insomnies. Elle avait l’impression de dormir au mauvais moment et que sa vie serait plus facile si elle pouvait s’endormir à 1 heure du matin et se réveiller à 9 h. Les médicaments classiques ne la soulageant en rien, je me suis tourné vers la chronobiologie (l’étude des rythmes circadiens), une science encore très peu connue. C’est ainsi que je lui ai proposé de tenter l’expérience en suivant son rythme idéal, pendant une semaine, avec l’accord de l’entreprise où elle était employée. Les résultats ont été impressionnants ! Comme elle a été plus productive dans son travail et ponctuelle aux meetings, son patron, ravi, accepta très facilement de décaler ses horaires, ce qui régla son problème. Celle-ci me confia aussi sentir des moments où elle était plus efficace que d’autres dans sa journée, qu’il s’agisse de se concentrer, d’écrire, de faire du sport ou de prendre une décision. En travaillant sur cette idée, j’ai découvert 300 études médicales confirmant les bénéfices du synchronisme des activités de chaque individu avec son biorythme. Quand certains sont du matin, d’autres sont du soir. C’est comme ça que j’ai découvert le pouvoir du « Quand ? » Tout est une question de timing !


2. A quel point l’horloge biologique affecte-t-elle nos vies ? Comment avons-nous pu nous en éloigner autant ?


Nos ancêtres organisaient leur journée en fonction de leur horloge biologique, calquée sur le rythme du soleil. C’est l’invention de l’électricité au XIXe siècle par Thomas Edison qui a tout changé. La lumière artificielle nous a permis de vivre le soir, voire la nuit. Elle a perturbé le processus biologique naturel de création de mélatonine favorisant l’endormissement, à tel point que nous sommes devenus insomniaques. Autre facteur important affectant notre rythme circadien, l’utilisation des modes de transport rapides, comme les avions, nous permettant de passer d’un fuseau horaire à l’autre dans la même journée. Alors que le cerveau est encore calé sur l’heure du lieu de départ, le corps a changé de place. Or, ce dernier a besoin d’une journée pour s’adapter à une heure de décalage ! Enfin, la lumière bleue issue de nos écrans (télévision, ordinateur, tablette, téléphone…) perturbe la production de mélatonine, donc notre horloge biologique. C’est pour ça que je conseille de tout éteindre au–delà d’une certaine heure et de ne surtout pas dormir avec des veilleuses allumées !



Tout est une question de timing !
3. En fonction des cycles naturels de quelques animaux observés dans la nature, vous avez créé différents chronotypes : dauphins, lion, ours et loup. Pour savoir à quelle catégorie on appartient, il suffit de faire le test proposé dans votre livre. Que suggérez-vous de modifier afin de retrouver notre biorythme idéal ?

Chaque catégorie se voit conférer des conseils pour ses activités journalières : quel est le meilleur moment pour soi de manger, de boire un café, d’avoir une relation sexuelle, de prendre un bain, de dormir, d’écrire un livre, de demander une augmentation à son patron et bien d’autres encore. Prenons quelques exemples.

Quel est le meilleur moment pour avoir une relation sexuelle ? Les hormones dont on a besoin pour faire l’amour sont la progestérone, la testostérone, les œstrogènes, l’adrénaline et la cortisone. Celles-ci doivent être élevées alors que la mélatonine a besoin d’être au plus bas. Pour des raisons essentiellement de rythme social, la plupart des gens font l’amour vers 22 h 30, alors que la mélatonine est au plus haut pour favoriser l’endormissement. Ce n’est pas le moment idéal ! Je suggère donc de faire l’amour soit en début de soirée soit le matin, sauf si on appartient à la catégorie des loups. D’ailleurs, ce planning marche bien du point de vue biologique. Pour preuve, l’érection matinale des hommes. Evidemment, il y aura des ajustements d’heure à faire en fonction du chronotype auquel on appartient.

Chaque catégorie se voit conférer des conseils pour ses activités journalières.
Quand faire du sport ? Cela dépend du type d’activité physique et du résultat recherché. Pour brûler des graisses, il est plus efficace de courir tôt le matin, à jeun. Au contraire, pour améliorer ses performances, mieux vaut courir quand la température du corps est élevée, donc plus tard dans la journée. Respecter le moment idéal pour son profil permet d’encourir moins de blessure, d’améliorer sa performance et de développer un meilleur métabolisme !

Existe-t-il un meilleur moment pour mémoriser une information ? Le fonctionnement de la mémoire comporte trois phases : l’encodage, le stockage et le rappel de la connaissance. L’encodage fonctionne tout au long de la journée, quel que soit le chronotype auquel on appartient. En revanche, pour le stockage et le rappel, on observe des moments favorables en fonction des individus. Le stockage semble avoir lieu pendant les stades de sommeil delta (3 et 4) : le cerveau fait le tri entre ce qui est important et ce qui ne l’est pas parmi les images, sons ou paroles emmagasinés pendant la journée. Pour un dauphin, ce sera entre 4 h 30 et 6 h 30, pour un lion, entre 3 h 30 et 5 h 30, pour un ours entre 4 h et 7 h, et pour un loup entre 5 h et 7 h. Conclusion, pour bien retenir une information, il faut dormir au bon moment.

Quand se soigner ? Le système immunitaire s’active la nuit. Plus on dort et mieux on dort, plus on développe de résistance aux maladies mineures, comme le rhume. C’est scientifiquement prouvé. D’où l’intérêt de se coucher et de se lever à l’heure idéale définie par son chronotype. En revanche, il a été observé que les tumeurs cancéreuses grandissent plus vite la nuit. Et que lorsque le traitement est pris à ce moment-là, l’ADN se régénère plus rapidement. Ce qui pourrait renforcer la théorie selon laquelle, pour minimiser les effets secondaires et maximiser l’effet de la chimiothérapie, les médicaments devraient être administrés aux heures où les cellules du patient se régénèrent. Je vois beaucoup d’avenir à tenir compte des chronotypes dans le domaine médical !


La position géographique sur le globe est donc aussi déterminante.
4. Quels sont les autres facteurs qui influencent l’horloge biologique ?

Les chronotypes peuvent changer en fonction de l’âge. Alors que les jeunes enfants se lèvent tôt et se couchent tôt, les adolescents ont tendance à se coucher tard, vers 2 heures du matin, et à se lever tard, vers midi. A partir de 20 ans, un nouveau rythme se met en place jusqu’à 50 ans. Au-delà, la plupart dorment moins, ce qui peut être aussi lié à des maladies ou à un traitement médical. Evidemment, les femmes soumises au cycle menstruel subissent des changements hormonaux importants au cours du mois, ce qui va altérer leur biorythme.

Autre facteur perturbant, le cycle des saisons. Pendant l’hiver, le manque de luminosité fait baisser le taux de mélatonine, facteur de dépression saisonnière. La position géographique sur le globe est donc aussi déterminante. Plus on habite dans un pays où il y a du soleil, plus la chronobiologie fonctionne car on est en davantage en phase avec notre nature profonde ! Au Danemark, la population se voit obligée de recourir à la luminothérapie pour remonter son niveau d’énergie lié à l’absence de soleil. Quant au changement d’heure deux fois par an, il affecte le corps sur une journée seulement et n’a pas d’incidence sur le biorythme.


5. L’idée de votre livre n’est-elle pas de retrouver son instinct, de vivre au plus près de sa nature profonde ?

Mon but est de permettre à tous ceux qui ont des problèmes de découvrir leur chronotype pour mieux se rapprocher de leur biorythme naturel. Je donne des outils concrets pour changer efficacement les zones qui dysfonctionnent. Je conseille de procéder par étape et d’améliorer ainsi sa vie, semaine après semaine, pour devenir plus fort, plus rapide, plus sain et bien évidemment plus heureux !
SOURCE INREES