Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris
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samedi 12 janvier 2013

DANS LES SECRETS DE L 'OCCULTISME.

Un don étrange , inexpliqué, "occulte", qui veut dire secret,  peut -il permettre de prédire l 'avenir ?


jeudi 4 octobre 2012

ETRE INTUITIF AU QUOTIDIEN.

Pratiquer la conscience
du coeur 

Qui n’a jamais rêvé de développer un fonctionnement intuitif au quotidien ? La cohérence cardiaque est une pratique personnelle basée sur une respiration rythmée, facile à mettre en œuvre. Les bienfaits : diminution du stress, retour à la clarté mentale et au calme, amélioration de la conscience de soi et meilleures perceptions... 6 étapes à suivre.

© Amja

1/ Rythmez votre respiration

Retenez bien ces trois chiffres : « 3, 6, 5 » car ils pourraient bien changer votre vie ! Il s’agit d’un truc pour se rappeler les indications suivantes : 3 fois par jour ; 6 respirations par minute pendant 5 minutes et ce, 365 jours par an ! Les trois chiffres qui forment le nom de cet exercice ont chacun une raison d'être basée sur la physiologie et les constatations faites lors des études cliniques et chez les pratiquants réguliers.
Au calme, installé sur une chaise face à une table ou un bureau, les pieds au sol et le dos bien droit, commencez par une profonde expiration ! Ensuite, et pendant 5 minutes, à l’aide d’un chronomètre pour compter les secondes, faites des respirations abdominales de 10 secondes chacune ! Inspirez par le nez pendant 5 secondes en faisant rentrer l’air dans votre ventre, puis expirez par la bouche tout en freinant légèrement la sortie d’air au niveau des lèvres pendant 5 secondes également.


2/ Installez la pratique

La première séance est à faire au lever, avant la prise du petit déjeuner. C’est de loin la séance la plus importante car elle permet de diminuer la production de cortisol, la fameuse hormone du stress, qui, produite en excès, réduit les capacités de réflexion et de décision. Pour éviter de faire l’impasse, mettez votre réveil dix minutes plus tôt que d’habitude. Vous ne le regretterez pas ! Les effets de l’exercice durent environ quatre heures, si bien que la deuxième séance est à effectuer avant le déjeuner. Elle permet de prendre du recul par rapport aux événements de la matinée, de conserver clarté mentale et fraîcheur et d’atténuer le deuxième pic de cortisol du début d’après-midi. Enfin la troisième séance est à organiser en milieu ou fin d’après-midi. C’est la plus difficile à mettre en place mais elle est capitale pour aborder la fin de journée et la nuit. Elle vous aidera à trouver un bon sommeil. L’important est d’installer un rituel. Offrez-vous la possibilité de tester cet exercice sur une dizaine de jours afin de constater les premiers effets et jugez vous-même de son efficacité.

3/ Utilisez l’énergie du cœur

Une fois la respiration basée sur la fréquence de 6 respirations par minute bien maîtrisée, portez votre attention sur la région du cœur, adressez-vous à lui, souriez-lui, parlez- lui ! Faites l’expérience, vous serez surpris des résultats ! Le cœur réagit à votre état émotionnel. Lorsque que vous êtes dans l’énergie de l’amour et la gratitude, vous êtes en état de cohérence cardiaque. Si vous n’êtes pas convaincu, pensez par exemple à une personne que vous aimez. Fermez les yeux et observez ce qui se passe. Comment vous sentez-vous ? Votre visage n'affiche-t-il pas un beau sourire ? Ne sentez-vous pas de la chaleur dans vos mains ou ailleurs ? N’avez-vous pas l’impression de vous sentir détendu et léger ? Voilà comment le sentiment d’amour pour autrui modifie vos perceptions du monde.

4/ Utilisez l’intelligence du cœur

Le cœur est au centre des émotions, des perceptions et des intuitions. C’est un petit cerveau à lui tout seul et l’expression populaire « Écoute ton cœur » est très juste ! Plusieurs études ont montré que le cœur réagit avant même que l’information ne soit arrivée au cerveau, comme s’il souhaitait nous prévenir d’un danger à venir. L’une d’entre elles, réalisée en conditions de laboratoire à l'Institute of HeartMath en Californie, est plutôt saisissante. Les participants, branchés à un logiciel de variabilité cardiaque pouvant détecter et enregistrer les émotions désagréables, étaient face à des ordinateurs faisant défiler de façon tout à fait aléatoire des images émotionnellement neutres et d’autres plus violentes. Le but était de voir si la visualisation de ces images avait un impact sur la courbe de variabilité cardiaque. Quelle ne fut pas la surprise de l’équipe de constater que la courbe variait avant même l’apparition de l’image ! Votre cœur sait avant tout le reste, apprenez à l’écouter ! Pour repérer les informations qui vous parviennent, soyez dans l’état de calme procuré par l’état de cohérence cardiaque. Vous avez déjà pris une décision que vous saviez mauvaise à l’avance. Comment le ressentiez- vous ? Où le perceviez-vous dans votre corps ?
C’est en développant la conscience de ces malaises internes que vous prendrez de meilleures décisions. Vous devez vous rendre à une soirée avec des amis mais le cœur n’y est pas, vous en avez envie mais quelque chose vous bloque. De retour à la maison, vous apprenez que l’on a essayé de vous joindre pour vous annoncer une mauvaise nouvelle, vous auriez pu être sur place plus rapidement.

5/ Repérez les coïncidences télépathiques

Vous souhaitez partir en vacances dans tel pays, et dans les jours qui suivent, vous tombez sur un reportage télévisé consacré à la région que vous voulez découvrir. Dans la même semaine, vous achetez une revue et y trouvez une liste d’hôtels et de sites à visiter ! Hasard ? Coïncidence ? Pour celles et ceux qui y sont attentifs, notre quotidien en regorge. Mais attention à ne pas voir des signes partout ! Car si certaines de ces coïncidences sont surprenantes, elles n’ont pas forcément toutes de sens et n’influencent pas nécessairement notre vie. En revanche, leur observation est un très bon outil pour développer notre intuition. Commencez par tenir un journal dans lequel vous notez toutes les coïncidences ayant du sens pour vous. Puis interrogez-vous : répondent-elles à une question ? Vous guident-elles dans une direction ? N’oubliez pas de les remercier. Une coïncidence télépathique est associée à un feu vert, une confirmation, une autorisation.

6/ Ouvrez-vous à l’insight

Lorsque vous êtes face à une situation complexe où vous avez besoin de trouver rapidement une solution, par exemple quand vous ne savez plus où vous avez laissé vos clés : ne paniquez pas et pensez à l’insight ! L’apparition brutale d’une solution survient en tant qu’insight souvent à la suite d’un changement de perspective ou de la modification de l’un des éléments du problème, comme si la solution était là, sous nos yeux, mais masquée. Pour cela, commencez par vous détendre en expirant profondément. Soyez à l’écoute de vos perceptions sensorielles. Que vous dit votre corps ? Que ressentez- vous ? Prêtez attention à votre environnement, captez-vous des informations ? Pratiquez la respiration 365. Puis observez votre problème avec un nouveau regard : concentrez- vous sur la solution. Laissez venir des idées, des images. Évidemment, vous ne trouverez pas de réponse à chaque fois. Ne vous découragez pas. Essayez, et constatez vos progrès.

mardi 25 septembre 2012

LE POUVOIR DES MAINS.

Percevoir l'imperceptible

Après un début de carrière comme chercheuse au sein de la NASA, Barbara Ann Brennan est aujourd’hui guérisseuse et psychothérapeute. Dans son livre « le pouvoir bénéfique des mains » elle raconte son parcours, la découverte progressive de ce qu’elle appelle le haut sens de perception lui permettant de voir, au-delà du visible, ce champ d’énergie, que nous possédons tous et qui est directement en lien avec notre état de santé. Extraits.
Howard, ouvrier retraité, vient me consulter pendant plusieurs mois. Travailler avec lui fut un délice. Lorsqu’il se présenta à moi la première fois, il avait le teint gris, souffrait continuellement du cœur et pouvait à peine circuler dans une pièce sans être épuisé. Après la première séance, son teint était rose, la douleur avait disparu. Après deux mois de soins, à raison d’une séance par semaine, il se remit à danser. J’ai travaillé avec Mary. Nous avons combiné l’imposition des mains à des médications à base d’herbes prescrites par un naturopathe afin de nettoyer ses artères encrassées. Je continue encore à renforcer et à équilibrer son champ. L’amélioration évidente de son état fut constatée par ses médecins et par ses amis. [...]


Muriel, une artiste, épouse d’un chirurgien réputé, fut ma dernière cliente du jour. Nous en étions à sa troisième séance. Trois semaines plus tôt, elle s’était présentée dans mon cabinet avec une thyroïde hypertrophiée. Pour ce premier rendez-vous, je fis appel à mon « haut sens de perception » (HSP) afin de rassembler des informations sur son état. Je pus voir que cette hypertrophie n’était pas due à un cancer et qu’avec deux séances de soins associés aux prescriptions de ses médecins la grosseur disparaîtrait sans recourir à la chirurgie. Elle me confirma que plusieurs spécialistes, consultés auparavant, lui avaient prescrit des médicaments destinés à réduire sa glande thyroïde en lui précisant que le traitement l’atrophierait quelque peu, mais qu’une intervention chirurgicale serait néanmoins nécessaire. Il était possible qu’il s’agisse d’un cancer. L’intervention avait été prévue pour la semaine suivante de notre second rendez-vous. Mais après deux séances de soins, l’opération se révéla inutile, à la grande surprise de ses médecins. Elle n’était revenue ce jour-là que pour m’assurer que sa santé s’était rétablie et que tout était rentré dans l’ordre. Et ce fut bien le cas.

Comment ces évènements, miraculeux en apparence, ont-ils pu se produire ? Qu’ai-je fait pour aider ces gens là ? Le procédé auquel j’ai eu recours s’appelle l’imposition des mains, la guérison par la foi ou guérison spirituelle. Il n’y a rien de mystérieux. Il est tout ce qu’il y a de plus honnête, bien qu’il soit très souvent d’une grande complexité. La procédure implique l’équilibrage du champ d’énergie. Je l’appelle le champ d’énergie humaine. Il existe autour de chacun de nous. Tout le monde possède un champ d’énergie, une aura qui l’enveloppe et interpénètre le corps physique. Ce champ d’énergie est intimement lié à la santé. Le haut sens de perception (HSP) est le moyen de percevoir au-delà des limites normales des sens humains. Grâce au HSP, on peut voir, entendre, goûter et toucher ce qui, normalement, ne peut être perçu. C’est une sorte de voyance dans laquelle une image se forme dans l’esprit sans avoir recours à la vue. Il ne s’agit pas d’imagination. On l’appelle parfois clairvoyance. Le HSP révèle l’interaction du monde dynamique fluide sur les champs d’énergie vitale entourant et pénétrant presque tout. Presque toute ma vie, j’ai dansé avec la mer d’énergie vivante dans laquelle nous existons. Tout au long de cette danse, j’ai découvert que cette énergie nous soutient, nous nourrit, nous fait vivre. C’est par elle que nous percevons les autres, nous en sommes pétris, elle fait partie de nous. [...]

De nos jours, bien des êtres humains amplifient la portée normale de leur cinq sens jusqu’au niveau suprasensoriel. Les preuves abondent, et dans une certaine mesure, beaucoup de gens sont dotés d’un HSP sans s’en rendre compte. La plupart pourraient les développer davantage s’ils s’y consacraient sérieusement. Toutefois, il est fort possible qu’une transformation se soit déjà opérée dans les consciences et qu’un nombre croissant d’individus soient en train de développer un nouveau sens de perception par lequel ils captent des informations sur une fréquence probablement plus élevée. Tel est mon cas. Il se peut que ce soit le vôtre aussi. Le processus s’est déroulé progressivement en moi, lentement, de façon très organique. Les nouveaux univers qu’il m’a ouverts ont presque totalement modifié ma réalité personnelle. Je tiens ce développement du haut sens de perception pour une étape évolutive naturelle de l’espèce humaine conduisant à une phase de progression. En raison de ces nouvelles aptitudes, nous ne pourrons qu’être profondément honnêtes les uns envers les autres. Nos sentiments et nos réalités intimes ne pourront plus être masqués. Ils se communiquent automatiquement à nos champs d’énergie. A mesure que nous apprendrons à percevoir cette information, nous verrons et entendrons nos congénères beaucoup plus clairement qu’aujourd’hui.
Le pouvoir bénéfique des mains, Barbara Ann Brennan
Editions Sand (Août 2009 ; 477 pages)

samedi 1 septembre 2012

L'ENFER OU LE PARADIS ?

Comment transformer l'enfer
en paradis ?

Vous n’aimez pas votre boulot ? Vous prenez mal les remarques de votre boss ? Pour le psychothérapeute américain Michael Hall, fondateur d’une école de coaching réputée, nous avons les capacités de transformer un enfer, professionnel ou autre, en paradis. Explications.
© National Geographic
« Toute critique ne doit pas être perçue comme une attaque personnelle ! souligne Michael Hall. C’est peut-être le signe que votre patron a passé une mauvaise journée, ou que vous-même êtes fatigué. Vous pouvez l’envisager comme un apport constructif, ou un simple point de vue que vous ne partagez pas. »
Concepteur d’une méthode de développement personnel appelée la Neuro-Sémantique, Michael Hall affirme que notre bonheur tient à notre capacité à prendre le contrôle des significations qu’on donne aux choses.
« Rien n’a aucun sens en soi,
explique-t-il. Nos pensées, nos actions, reposent sur la construction par notre cerveau d’un système de références qui modèle notre vision de l’environnement, notre interprétation des événements, et la manière dont on y réagit. »


Selon la Neuro-Sémantique, nos perceptions et nos attitudes reposent sur une « matrice » composée « d’idées, de croyances, de valeurs, de souvenirs, de désirs, de cadres et de modèles mentaux », façonnés par le milieu dont on est issu, l’éducation qu’on a reçue, la culture dans laquelle on a grandi, les gens qu’on rencontre, les situations qu’on traverse… « Plus on avance dans la vie, plus les couches s’accumulent, plus elles s’imbriquent les unes aux autres, plus la matrice se complexifie. »
Parfois de manière harmonieuse, parfois dans la douleur. Car de la différence enregistrée entre notre représentation et notre expérience du monde, naissent des émotions, voire un mal-être, qu’un simple changement de comportement ou de contexte ne suffit pas à éradiquer durablement.
« Ce qu’il faut, c’est prendre conscience des systèmes qui formatent nos pensées et nos actions, les identifier, les comprendre, puis les remettre en question. »
Si je crée ma réalité en créant les significations que je donne aux choses, quelles sont-elles ? Sont-elles pertinents, robustes, utiles ? Rendent-elles ma vie agréable, conforme à mes aspirations ? Dans le cas contraire, quelles autres significations pourrais-je imaginer ?
« En formation, nous proposons par exemple aux gens d’attribuer sept significations à un objet, puis sept autres, puis encore sept,
explique Michael Hall. La chaise sur laquelle je suis assis peut être une arme si je vous la jette à la figure, un jouet pour un enfant, un vecteur de créativité pour son designer, une source de revenu pour ceux qui la fabriquent et la commercialisent. Elle sera un objet de convoitise si je suis fatigué, ou une torture si je suis assis dessus inconfortablement depuis des heures ! Plus notre capacité à donner différents sens aux choses est riche, plus nous maîtrisons l’art de construire de nouvelles perspectives, moins nous sommes bloqués face aux événements, plus nous savons nous adapter, et réagir efficacement. »

Au plus près de ce que l’on est, moins soumis aux modèles imposés. « En prenant du recul par rapport à nos films mentaux, en se donnant un temps pour nourrir notre cerveau d’autres images, d’autres possibilités de montage, on cesse de réagir à fleur de peau, de se laisser guider par des automatismes et de prendre les choses trop à cœur », commente Michael Hall.
En accord avec les trois principes évoqués par le psychologue Martin Seligman dans Learned Optimism: How to Change Your Mind and Your Life (1991) : quoi qu’il arrive, ne pas en faire une affaire personnelle, ne pas le considérer comme immuable ni lui accorder trop d’importance.
Ainsi, face à une critique, ne pas se dire « c’est de ma faute, rien ne va, ça ne changera jamais » (de quoi sombrer dans la déprime, se sentir sans espoir ni soutien et capituler), mais comprendre que ce n’est qu’une situation, que ça pourrait être pire, que ça finira par passer, et se mettre ainsi dans un état d’esprit constructif.

Et si l’environnement fait de la résistance ? « Sans nier qu’il joue un rôle, même lorsqu’on s’en éloigne (il reste dans nos têtes), il faut en relativiser l’importance, estime Michael Hall. Penser qu’il m’entrave ou me contrôle, c’est effectivement lui donner le pouvoir, c’est faire de son emprise une réalité. »
Y compris dans les cas les plus sordides : « Comme l’a souligné le neuropsychiatre autrichien Viktor Frankl, rescapé des camps de concentration, nous avons toujours la liberté de décider comment nous répondons à une situation, de trouver en nous un sens positif à ce que nous vivons. »
Facile à dire ! « Selon la théorie des systèmes, questionner un système de l’intérieur, par son attitude, ses paroles ou ses actes, permet aussi, inéluctablement, de l’infecter », rappelle le psychothérapeute.

Ne reste plus qu’à s’y mettre. « Dans les organisations, seulement 20 à 30% des initiatives de changement parviennent à leur terme », indique Michael Hall. Car on a beau savoir ce qu’il faudrait faire, on peine à le mettre en œuvre. « Une évolution durable ne s’obtient pas par simple injonction ou motivation ; elle doit être le fruit d’une pratique répétée. Les neurosciences ont par exemple montré qu’il faut trois semaines pour transformer un exercice quotidien en habitude. »
Alors, prêt ? Tous les jours, prenez un moment de recul par rapport aux événements, devenez-en un témoin conscient, essayez de leur donner des sens différents, d’imaginer d’autres manières de les interpréter et d’y réagir.
Au besoin, faites-vous aider par un coach, « qui n’est ni un gourou ni un thérapeute, mais un facilitateur », rappelle Michael Hall. Quelqu’un qui, par une discussion approfondie, met en lumière votre manière de fonctionner, vous aide à révéler votre potentiel et le réaliser.
En espérant que les dirigeants, en entreprise comme en politique, s’y mettent également, « parce que ce sont eux qui fixent les sens de nos cadres professionnels et sociétaux, donc modèlent notre esprit de groupe et nos rapports sociaux ». De même que le système éducatif. Dans cette perspective, Michael Hall travaille à la conception d’outils pédagogiques, du CP à la Terminale, s’appuyant sur les outils de la Neuro-Sémantique. Pour que les nouvelles générations apprennent à mieux prendre le contrôle de leur vie et de leur rapport au monde.


- Site de Michael Hall : www.neurosemantics.com
- Site de ses partenaires français : www.talents-coach.com
Le Méta-Coaching, L. Michael Hall, Michelle Duval
(2012 ; 361 pages)

vendredi 31 août 2012

ENVISAGER UN AU -DELÀ !

60 millions d'individus
revenus de la mort ?

Et si nos capacités de réanimation nous permettaient d'envisager un « au-delà » ? C'est ce que pense le Dr Jean-Jacques Charbonnier, médecin anesthésiste-réanimateur, qui a rassemblé dans son dernier livre « sept bonnes raisons » d'y croire.
© Sentiments d'éternité / INREES
« Juste après mon arrêt cardiaque, je suis sorti de mon corps. J’étais au plafond et j’ai tout vu ; j’ai assisté à tous les détails de ma réanimation. Je voulais hurler aux personnes qui tentaient de me faire revenir à la vie de me laisser tranquille, de me laisser filer, mais ils ne pouvaient pas m’entendre. J’étais formidablement bien et je n’avais pas du tout le désir de revenir dans mon corps. Je suis ensuite passé dans un tunnel. Je baignais dans une lumière d’amour inconditionnel et mon bonheur était d’une puissance indicible. J’ai revu toute ma vie dans ses moindres détails et en accéléré. J’ai ressenti le bien et le mal que j’avais fait aux autres. J’ai rencontré un être de lumière d’une bonté infinie qui m’a demandé ce que j’avais fait de ma vie et ce que j’avais fait pour les autres. Mes parents décédés sont venus m’accueillir pour me dire qu’il fallait que je revienne dans mon corps car je ne pouvais malheureusement pas rester avec eux alors que je le souhaitais ardemment. Ils m’ont montré une frontière qui était une limite que je ne devais pas franchir. Au moment où j’ai réintégré mon corps, toutes mes douleurs terrestres sont revenues et j’étais tellement triste de quitter cette merveilleuse lumière. Je suis maintenant très heureux car je sais qu’il y a une vie après la mort et qu’un jour je serai de nouveau dans cette lumière d’amour. Je sais aussi que, sur cette terre, le plus important est de savoir aimer et aider les autres. Cette expérience a bouleversé ma vie. Plus rien ne sera jamais comme avant. »

Les voyages vers l’au-delà

En vingt-cinq ans de réanimation, j’ai pu rassembler plusieurs centaines de témoignages de patients revenus d’une mort clinique. Le discours reconstitué dans les lignes précédentes est une synthèse condensée de ces différents récits ; une sorte de résumé regroupant les principales caractéristiques de ces singuliers voyages dans l’au-delà. La séquence évènementielle décrite est presque toujours la même et ceci indépendamment des cultures, des philosophies, des lieux de vie ou des religions.

Il n’existe aucun facteur prédictif pour vivre l’expérience ; ni l’âge ni le sexe ni le niveau social ni les croyances ne permettent de dégager des prédispositions particulières pour connaître cet extraordinaire événement. Pourtant, aucune histoire ne se ressemble vraiment car chacun exprime son vécu avec sa sensibilité et sa culture. Toutefois, les nombreux éléments récurrents que j’ai pu recueillir laissent à penser que l’itinéraire est, à peu de choses près, toujours le même. C’est comme si on demandait à un jeune Esquimeau, à une vieille américaine ou un quinquagénaire Sénégalais de raconter un voyage à Venise ; leurs histoires seraient fort différentes mais au total, on s’apercevrait assez rapidement qu’ils sont tous les trois partis visiter la même ville. Par exemple, un enfant victime d’un arrêt cardiaque dit avoir vu « un grand monsieur qui s’éclairait tout seul » pour décrire l’être de lumière. Certains rencontrent Jésus-Christ, d’autres Bouddha, la Vierge Marie ou encore le prophète Mahomet ; la divinité aperçue dans la lumière se métamorphose en fonction des croyances et des religions. Un élément est retrouvé dans cent pour cent des cas : pour ceux qui ont connu la chose, la vie se poursuit après la mort et l’au-delà existe. Ils en sont intimement persuadés et rien ni personne ne pourra leur faire changer d’avis. L’un d’eux m’a dit un jour :

« Même si un scientifique parvenait à prouver par A plus B que mon expérience n’était qu’une hallucination, je ne le croirai pas une seule seconde car je suis certain au fond de moi que ce que j’ai vécu ce jour là était bien réel ; cela n’avait rien à voir avec un rêve ou une hallucination ! »


Selon les dernières études statistiques, ils seraient au moins 60 millions à avoir connu cette expérience transcendante après un arrêt cardiaque : 4% de la population occidentale (2,5 millions de Français, 12 millions d’Américains), beaucoup moins dans les régions de la planète où les possibilités de réanimation sont quasi inexistantes. Il y a fort à parier qu’avec la banalisation de ce genre d’histoires et le développement de défibrillateurs automatiques, on assistera très rapidement à une multiplication des récits.

Ils sont bien revenus de la mort !

La mort clinique est définie par l’arrêt du fonctionnement cérébral. Cet état peut-être objectivé par l’enregistrement d’une activité électrique neuronale nulle ; électroencéphalogramme (EEG) plat. Lorsque l’on obtient deux EEG plats à quatre heures d’intervalle pendant au moins vingt minutes, en dehors de narcose (produits administrés en intraveineux pour faire dormir) ou d’hypothermie, on considère que la mort clinique est devenue irréversible. Dans ces conditions, on est en mesure de débrancher le patient du respirateur ou de lui prélever ses organes par des dons. En fait, cet état correspond à nos limites actuelles de réanimation et il est probable que d’ici quelques décennies, celles-ci soient complètement dépassées. Il ne faut pas oublier que les médecins des générations précédentes ne pratiquaient pas les massages cardiaques et se contentaient de signer un certificat de décès chaque fois qu’un cœur cessait de battre.

Depuis peu, nous savons qu’un EEG devient plat dans les quinze secondes qui suivent un arrêt cardiaque. Etant donné que dans les meilleures conditions de surveillance, comme c’est le cas en soins intensifs, il existe une période incompressible d’au moins une minute pour porter les premiers secours, on peut considérer que toutes les victimes réanimées après un arrêt cardiaque ont bien connu une mort clinique. Et c’est sans compter les personnes isolées à la campagne dont les cœurs sont repartis au bout de plusieurs dizaines de minutes après l’intervention du SAMU le plus proche !

Nos études ont montré qu’environ 18% des sujets réanimés d’un arrêt cardiaque racontaient la fameuse expérience décrite au début (de ce chapitre). Les termes de near death experience (NDE) employé par les Anglo-Saxons depuis les années soixante dix, d’expérience imminente (EMI) ou encore d’expérience aux frontières de la mort (EFM) sont par conséquent aujourd’hui complètement dépassés. Il est désormais plus juste de parler d’expérience de mort provisoire (EMP). La mort clinique est en effet déjà là quand les patients sont réanimés puisque l’activité cérébrale est nulle dès le moment du premier massage cardiaque. Le propriétaire d’un cœur arrêté n’est pas « proche de la mort » ni « aux frontières de la mort » ou en « état de mort imminente » ; il est déjà mort et souvent depuis de nombreuses minutes !
Les 7 bonnes raisons de croire à l'au delà, Jean-Jacques Charbonier
Editions Trédaniel (Janvier 2012 ; 220 pages)

mardi 3 juillet 2012

COMMENT ? ne pas avoir de regrets :

Les regrets des mourants

Une infirmière australienne, spécialisée dans un service de soins palliatifs d’un hôpital, a accompagné les personnes mourantes dans leurs derniers jours. Dans un livre paru fin 2011, elle a révélé quels étaient les regrets les plus courants que nous avions à la fin de notre vie. (Lu sur Yahoo!)
© Walter Schels
Bronnie Ware n’est pas une infirmière comme les autres. Comme les autres, elle travaille dans un hôpital depuis plusieurs années pour venir en aide aux malades. Mais ce qui différencie Bronnie Ware de ses collègues, c’est qu‘elle a accompagné des patients lors des 12 dernières semaines de leur vie. Pendant de longs mois, elle a minutieusement relevé dans un blog les regrets qu’ils éprouvaient à l’approche de la mort. « Inspiration and Chai » a ensuite été posé sur le papier pour en faire un livre, qu’elle a sobrement intitulé « Le top 5 des regrets du mourant ». Bronnie Ware y évoque notamment l’exceptionnelle clairvoyance dont ont fait preuve ses patients avant de mourir, et comment nous pourrions apprendre de leur sagesse. Voici les 5 regrets les plus cités au cours des nombreuses années qu’elle a passées à leurs côtés.

1 - J’aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je le voulais, et non pas comme les autres l'entendaient


« C’était le regret qu’ils avaient le plus en commun. Quand les gens prennent conscience que leur vie est presque terminée et regardent derrière eux, il leur est plus facile de voir combien de rêves n’ont pas été réalisés. La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et vont mourir en sachant que c’est une conséquence directe des choix qu’ils ont fait, ou pas. La santé apporte une liberté dont très peu de gens se rendent compte, jusqu’à ce qu’ils ne l’aient plus. »

2 - J’aurais aimé ne pas travailler aussi dur


« Ce souhait est venu de tous les hommes que j’ai soignés. Ils n’ont pas assez vu leurs enfants grandir et n’ont pas passé suffisamment de temps avec leur femme. Les femmes ont également exprimé ce regret, mais comme la plupart étaient issues d’une génération plus âgée, nombreuses d’entre elles n’ont pas été "soutien de famille". Tous les hommes regrettent d’avoir passé autant de temps dans leur vie à travailler. »

3 - J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments


« Beaucoup de gens refoulent leurs sentiments afin de maintenir l’entente et la paix avec les autres. En conséquence, ils se sont installés dans une existence médiocre et n’ont jamais pu devenir ce qu’ils auraient aimé être. Beaucoup de maladies sont développées ou entretenues par l’amertume qui habite les patients. »

4 - J’aurais aimé rester en contact avec mes amis


« Souvent, ils se rendent compte trop tard qu’ils auraient pu profiter du soutien de leurs vieux amis dans les dernières semaines avant leur mort, mais il n’est jamais facile de les retrouver. Les gens sont tellement absorbés par leur propre vie qu’ils mettent de côté au fil des années des amitiés précieuses. Beaucoup regrettent de ne pas avoir fait assez d’effort et passé assez de temps pour les préserver. Les patients pensent souvent à leurs amis lorsqu’ils sont en train de mourir. »

5 - J’aurais aimé chercher à être plus heureux


« C’est un regret surprenant qu’ils avaient presque tous en commun. Beaucoup d’entre eux ne s’étaient pas rendus compte que le bonheur peut-être un choix. Ils sont restés coincés dans de vieux schémas et habitudes. Le soi-disant "confort" dans lequel ils étaient installés les a empêchés d’envisager les choses autrement, tétanisés dans leurs vies par la peur du changement. »

Lire l'article sur Yahoo!

samedi 2 juin 2012

DECOUVRIR.

Paul-Louis Rabeyron

Docteur en médecine




Biographie de Paul-Louis Rabeyron


Paul-Louis Rabeyron est Docteur en médecine, pédopsychiatre, maître en biologie humaine, ancien interne et assistant des hôpitaux psychiatriques de la région Rhônes Alpes. Il exerce actuellement en tant que psychiatre des hôpitaux et directeur médical d’un C.M.P.P (Centre médico-psychopédagogique). Il est également responsable d’enseignement à l’Université Catholique de Lyon, où il a créé une unité de valeur intitulée Sciences, société et phénomènes dits « paranormaux ».


Après une thèse consacrée aux Idéologies médicales, il s’oriente, en plus de ses activités cliniques, vers les questions d’anthropologie et d’épistémologie médicales. Il écrit plusieurs articles et participe à plusieurs ouvrages autour de ces thèmes (notamment un "que sais-je ?" sur les médecines parallèles, en collaboration avec l’ethnologue François Laplantine). Son intérêt pour les questions parapsychologiques s’affirme à l’occasion de la parution, en 1985, de l’ouvrage collectif Un voyant dans la ville pour lequel il rédige un chapitre. Membre du Comité Directeur de l'Institut Métapsychique International (IMI), il est également, depuis fin 2003, responsable du Groupe étudiants de l'IMI.

Paul-Louis Rabeyron a animé un atelier découverte d’introduction à la Parapsychologie scientifique à l'INREES dans le cadre d'un week-end événement en collaboration avec l'IMI.

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