Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

mardi 26 juin 2012

L'AMOUR, UNE FONCTION SUPERIEURE.

L'amour, bien plus qu'un sentiment ?

Contrairement aux autres sentiments qui agiteraient seulement quelques aires émotionnelles du cerveau, l'amour agiterait l’ensemble des réseaux cérébraux... Et si l'amour était bien plus qu'un sentiment ? (Lu sur Planète-Santé)
© Rossy
Plus qu’une simple émotion, telle que la joie, la tristesse ou le mépris, l’amour est une «fonction supérieure» avance le Dr Francesco Bianchi-Demicheli, psychiatre sexologue, travaillant au Département de Gynécologie et Obstétrique, aux Hôpitaux Universitaires de Genève. En collaboration avec Stéphanie Ortigue, chercheuse à l'université de Syracuse, à New York, il est parvenu à mettre en lumière la sublime fonction de l’amour grâce à ce qu’ils appellent la neuroimagerie de l’amour, soit l’analyse des réactions du cerveau face au sentiment amoureux.

Le fait d’aimer en appellerait selon eux bien au-delà des simples aires émotionnelles du cerveau. Lorsque l’amour apparait, c’est en effet presque sa totalité qui s’agite. «Il est bien entendu que les aires émotionnelles se réveillent, mais la neuro-imagerie a pu démontrer que les aires les plus évoluées du cerveau, là où se font les processus cérébraux les plus complexes, s’éveillent également, explique le spécialiste. L’amour n’est donc pas qu’une émotion, c’est bien plus que cela.»

Pour mener à bien leur étude, qui s’insère dans une ligne de recherche et une collaboration scientifique entre Genève et les États-Unis, le Dr Bianchi-Demicheli et sa collègue se sont intéressés au cerveau de 36 femmes, âgées en moyenne de 20 ans, et amoureuses. Un amour qui a pu être définit grâce à une échelle très précise: l’échelle de la passion Hatfield & Spracher qui permet, selon différents critères, de comprendre si l’on est en présence d’amour passionnel ou d’un amour «compagnon». «Nous avons alors pris des personnes passionnément amoureuses contre des personnes qui avaient un amour ‘compagnon’, que l’on peut définir par un attachement, un lien de confiance, ou de l’amitié, explique le sexologue. Nous avons alors envoyé des stimuli liés à la personne aimée de manières aléatoire et randomisée. A l’apparition de celle-ci on pouvait constater l’activation de certaines zone du cerveau, les mêmes pour tout le monde. Nous avons tenté la même expérience avec des mots en liens avec l’être aimé et le résultat était le même. En faisant des stimulations très rapides, même si concrètement la personne ne voyait pas distinctement les images qui lui était proposées, son cerveau quant à lui réagissait, et ce de manière bilatérale. Nous avons donc pu construire notre étude sur la base de ces résultats.»

En opérant des activations corticales, ils ont ainsi pu déceler qu’en tout une douzaine d’aires du cerveau était activée sous l’effet de l’amour. Considérer alors l’amour comme un simple sentiment, reviendrait à ignorer tout ce que l’état amoureux fait sur notre cerveau. «L’amour est un réseau distribué dans le cerveau, surenchérit le Dr Bianchi Demicheli. C’est un phénomène dynamique!»

Parmi les aires touchées, l’amour va mettre en mouvement le système cognitif de l’individu, les aires liées à la motivation et à la récompense, ainsi que celles impliquées dans la cognition sociale, soit la capacité qu’à un individu à socialiser. En parallèle, il a été noté que les aires connues pour être en lien à la peur ou à l’agressivité se désactivent sous l’effet de l’amour. Le réseau de l’attention et surtout l’aire du «self» sont également très actives. Enfin, le gyrus angulaire compris dans les compilations mathématiques les plus complexes et impliqué dans des fonctions langagières très avancées, telles que la sémantique, se réveille lui aussi.

L’amour devient alors un concept très complexe que le cerveau traite à partir de sensation physiologique, psychique, du vécu d’un individu, de concepts culturaux, ou d’une expérience personnelle encrée dans la mémoire.
Source INREES