Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

jeudi 4 octobre 2012

EXPRIMER SES ÉMOTIONS.

Exprimer ses émotions
pour apaiser ses peurs

Selon une récente étude américaine, plus une personne exprime ses émotions concernant une phobie, une situation stressante ou angoissante, plus elle a de chance de voir ses tensions apaisées et de retrouver son calme. Et plus les mots sont francs, meilleurs sont les résultats !
© Esmahan Ozkan
« La parole apaise la colère », disait Eschyle. Elle pourrait également apaiser les craintes, d'après une étude américaine parue dans la revue Pyschological Science : des phobiques des araignées ont en effet réussi à maîtriser leur peur, simplement en la verbalisant. Et plus les mots étaient francs, plus l'effet était important.
L'équipe du Dr. Katerina Kircanski à l'Université de Californie, Los Angeles a soumis 88 arachnophobes à une véritable épreuve : approcher le plus près possible d'une tarentule vivante dans un bocal ouvert situé en plein air. Après ce test, les chercheurs ont demandé à une partie des sujets de décrire précisément les émotions ressenties au moment de l'expérience (« je suis effrayé par cette horrible araignée », par exemple) et aux autres de relativiser ce moment stressant (« elle est plus petite que moi, elle ne peut pas me faire de mal »).

" Attentif au moment présent"

Une semaine plus tard, un deuxième test a eu lieu. Les sujets qui avaient exprimé leurs émotions sont allés plus près de l'araignée que les autres participants, et leur peur (mesurée par la transpiration au niveau de leurs mains) était la plus faible de tout le groupe. Plus étonnant, les mots les plus négatifs (comme « terrifiant ») ont entraîné les meilleures performances. Les scientifiques ont été réellement impressionnés par ces résultats, obtenus en une seule intervention. « Des effets encore plus importants » pourraient être atteints en multipliant les séances de ce type, envisage Michelle Craske qui a supervisé l'étude.

Contrairement aux méthodes classiques qui visent à minimiser - voire nier - ses craintes, les exprimer franchement permettrait donc de mieux les affronter, conclut la psychologue. Il faudrait même encourager tous les patients anxieux à verbaliser franchement leurs émotions, ajoute Matthew Lieberman, un autre membre de l'équipe. « Être attentif au moment présent et s'autoriser à vivre pleinement toutes ses expériences », c'est le conseil du chercheur pour se libérer de ses frayeurs.

Lire l'article sur Le Figaro.fr