Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

mardi 19 février 2013

L' ÉNERGIE : qu'est-ce que c 'est ?

L'énergie : Vos questions, les réponses de Michel Odoul

A l'occasion de l'évènement « L'énergie, qu'est-ce que c'est ? » qui avait lieu le mercredi 15 décembre dernier, l'INREES vous avait proposé d'envoyer toutes vos questions sur le sujet. Aujourd'hui, Michel Odoul répond à une sélection de ces questions pour continuer le débat avec vous sur la conceptualisation de l'énergie.

Je joue d'un instrument de musique dans la nature et il m'arrive parfois lors de ce moment particulier pour moi de voir une « énergie » au pied d'un arbre. qu'en pensez-vous ? (Ernest)
Le fait de jouer de la musique vous conduit sans doute vers un état de « conscience modifiée », facilité par l'environnement naturel, dans lequel vous percevez alors le niveau fréquentiel qui émane de l'arbre. En temps normal et en « état » normal, vous ne le capteriez pas. En Qi Qong ou en Taï Chi par exemple, on cherche à se connecter à cette énergie, notamment avec des exercices au cours desquels on se « colle » contre un arbre que l'on serre dans ses bras et l'on reste ainsi le temps de se « recharger ». Le fait de jouer de la musique vous détend et par un relâchement du système neurovégétatif, vous amène à une sorte de flou visuel, un peu comme ce que l'on obtient en regardant une bougie allumée, sans vraiment fixer la flamme. On finit par percevoir une sorte de halo autour de celle-ci. Mais finalement, peut-être est-ce la même chose, la différence ne résidant que dans le vocabulaire qui permet d'expliquer.


Peut-on dire que l'énergie est un vecteur d'informations entre le visible et l'invisible, le conscient et l'inconscient ? (Sébastien)
On peut effectivement dire cela. Mais cela va bien au-delà puisque l'énergie est également un vecteur « organisant » de ces dimensions. Un peu comme un logiciel informatique qui transmet et interprète les appuis sur les touches du clavier et en fait des informations. Celles-ci vont informer certains champs du disque dur d'où ces informations reviennent vers l'écran pour organiser un texte ou un objet, et ainsi de suite. c'est par exemple exactement ce qui se passe avec la réponse que je suis en train de vous faire. Par conséquent l'énergie ne peut pas être dissociée entre les champs informationnel et organisationnel. Elle est les deux et lorsque nous la percevons dans l'un des deux, il s'agit d'un état « passager » qui permet de la « percevoir ».
Si l'énergie est spirituelle, peut-on dire qu'elle est à la base de la conscience ? (Joseph)
La conscience est la manifestation de l'esprit, l'état passager et individualisé de cet esprit dans une perception et un moment qui « extrait » cette conscience d'un global auquel elle appartient pour lui permettre une expression. Mais l'énergie n'est pas que spirituelle, elle est aussi matière. l'incarné est essentiel à la réalisation de la conscience. Sans cette dimension, l'existence n'est que virtuelle et n'a pas de sens en tant que telle. Son but est de produire, de transformer, de réaliser, de comprendre pour transformer à nouveau. Ainsi que je l'expliquais lors de mon intervention (Conférence INREES du 15 décembre 2010, ndlr) l'énergie est « mouvement » permanent.
Michel Odoul Que faire quand nous sommes épuisé ou vidé ? Avez-vous des astuces pour retrouver de l'énergie et se ressourcer lorsque la fatigue physique ou morale nous envahit ? (Claude et Michelle)
Ma première réponse ne va pas vous satisfaire, mais pourtant : il faut se reposer. Ce n'est pas de la provocation mais une simple vérité très en phase avec ce qu'est l'énergie. Une énergie qui ne se ressource pas, s'épuise. c'est le rôle du sommeil et de la nuit. Ces périodes où tout est censé se calmer, se poser, où le silence se fait en nous, sont majeures pour la recharge de l'énergie. La pensée permanente, le stress, les soucis, les inquiétudes, notre incapacité à laisser un peu de place au silence en nous, excitent en permanence nos énergies et les épuisent. Nos corps le savent, et nos médecins aussi. Lorsque par exemple quelqu'un a eu un traumatisme grave, on le met en coma artificiel, quant celui-ci n'est pas naturel. c'est la condition sine qua non pour que le corps récupère et cicatrise. Par conséquent, lorsque l'on est épuisé, physiquement ou moralement, il faut respecter le message. Il peut arriver que l'on n'ait pas le choix (ce qui reste à réfléchir...). Dans ces cas là, on peut faire des exercices de ré-énergétisation (yoga, Qi Qong, Taï Chi, etc.) si l'on en connait, respirer car la plupart du temps on le fait mal, prendre de l'homéopathie ou des compléments alimentaires, ou encore faire les petits trucs que j'ai indiqués lors de mon intervention. Mais en tous cas et surtout calmer l'esprit.
Peut-on parler de l'énergie ou des énergies ? (Jean)
Tout dépend à quel niveau on se situe. Fondamentalement, on peut parler « de l'énergie ». Mais si on l'observe dans ses déclinaisons innombrables, alors on peut parler « des énergies ». Comment expliquez-vous qu'après une lourde maladie, notre « énergie » semble parfois avoir disparu totalement de notre corps ? Cette impression est due au fait que notre corps, un peu à l'identique d'une centrale EDF, gère l'énergie en fonction des besoins et parfois déleste certaines zones. Par conséquent, la sensation que vous évoquez est la signature de la mobilisation générale de l'énergie pour soigner. d'ailleurs cela me semble judicieux car cela nous oblige au calme et au repos, alors que sinon, je crains que nous repartirions pour tirer un peu plus sur la corde.
Le travail thérapeutique autour de l'énergie est-il possible en occident de la même manière qu'en Asie ? (Vivianne)
A mon sens oui. La seule différence, ce sont nos esprit qui ne sont pas porteurs des archétypes orientaux (où l'énergie est une réalité en soi) et qui, par « manque de foi » peuvent être un frein au travail. Ce n'est pas très grave et c'est le rôle du praticien de savoir lever ce frein. Un professionnel saura le faire sans avoir besoin d'aller vers la « pensée magique ».
Je suis mariée avec quelqu'un qui est suspicieux en ce qui concerne le monde invisible et ne veut pas entendre parler d'énergie. Comment lui faire découvrir ou expérimenter la réalité du monde invisible et de l'énergie ? (Maria)
Pourquoi vouloir « convertir » quelqu'un à une croyance qui lui déplait ? Je crois que le plus simple serait de respecter son refus d'aller vers une vision du monde qui ne lui convient pas. s'il veut éventuellement un jour observer ou expérimenter ce que peuvent être les « énergies », vous pouvez lui proposer éventuellement d'essayer les arts martiaux. Comment expliquez-vous le fait que certaines personnes sentent instinctivement les points de blocages d'énergie et y apposent les mains sans avoir forcément étudier les chemins d'énergie du corps ? (Bénédicte)? Je ne l'explique pas, je le constate. Comme certaines personnes ont un nez d'une grande sensibilité et sont capables de détecter des odeurs que la plupart des gens ne perçoivent pas, comme d'autres ont une acuité visuelle qui leur permet de percevoir des nuances infimes de couleurs, il y a des personnes qui ont une sensibilité plus grande que la moyenne pour percevoir les énergies. De là à aller vers une qualité thérapeutique « innée » ou à prétendre soigner ou prendre en charge des patients, je serai plus prudent.
Habituellement, on considère le corps comme une « structure portante » pour le cerveau... Devenu très sensible à l'énergie suite à une activité en thérapie assistée par les chevaux, je me demande comment vous envisagez l'énergie lors des interactions avec les animaux ? (Sylvie)
Ainsi que je l'expliquai lors de mon intervention, les champs énergétiques individuels (humains ou non) ne sont pas cantonnés au corps physique mais vont bien au-delà et finissent par s'interpénétrer. c'est ce qui permet de comprendre bien des questions comme l'inconscient collectif, la télépathie, la précognition ou les interactions entre les êtres, jusque dans la dimension jungienne de la synchronicité. c'est ici que se jouent les relations subtiles et parfois thérapeutiques entre les humains et les animaux, que ce soit dans le cas que vous évoquez ou par exemple dans ce qui se passe entre les enfants autistes et les animaux.
Aujourd'hui, nous entendons beaucoup parlé des médecines non conventionnelles comme le « reikki » ? Que pensez-vous de cette pratique ? Comment agit-elle ? Bien qu'ayant un avis sur cette pratique, je ne me permettrai pas de le donner car ce n'est pas une technique que j'utilise. Du fait de ma position de « référent », j'ai pour cadre déontologique de ne parler, en donnant un avis, que sur les techniques que j'ai testées, éprouvées et validées. l'action supposée du reikki est, pour moi, de type « magnétisme ». Comment expliquer que la médecine chinoise puisse-nous aider à retrouver l'équilibre ? (Danielle)
La médecine traditionnelle chinoise peut nous aider à retrouver l'équilibre car elle a conceptualisé et organisé la connaissance des flux subtils de la vie. De là elle a pu mettre en place des techniques et des protocoles qui permettent de travailler sur ces flux de vie que l'on appelle « énergies ». Méridiens, points d'acupuncture, mais aussi alimentation, saveurs, couleurs, techniques corporelles, etc. sont autant de moyens pour retrouver un équilibre momentanément perdu. Il en est en fait un peu de même par exemple qu'avec la connaissance physique et mécanique occidentale qui est capable de « traiter » un déséquilibre électronique sur un téléviseur perturbé par des parasites liées à la surchauffe d'un composant.
Dans une vision « énergétique » du monde, comment sont perçues les « ondes » de notre monde moderne, comme celle des téléphones portable ? Ont-elle une incidence sur des niveaux plus subtils de notre être ? (Pascal)
Ces énergies sont très « grossières » par rapport à celles qui animent le vivant et ont peu d'effets « immédiats » sur lui. c'est pour cela que tant « d'études » dites scientifiques, concluent à l'innocuité de ces ondes. Malheureusement ce n'est pas aussi simple. Si elles n'agissent que peu ou pas sur la dimension quantitative et immédiate, elles agissent sur le temps parce qu'elles n'arrêtent pas. En permanence ces fréquences excitent tous les champs qui les environnent et finissent par les parasiter ou les contaminer. Nos corps et nos plans plus subtils se mettent en résonnance avec elles et peuvent se déséquilibrer. c'est un peu comme le bruit par exemple. Du bruit plus ou moins fort, nous sommes capables de le gérer, mais si ce bruit dure longtemps, il finit par nous épuiser. 
SOURCE INREES