Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

mercredi 13 mars 2013

Des médicaments de toute sorte. REUTERS/Jacky NaegelenEffet nocebo: la connaissance des effets secondaires d'un médicament augmente le risque de les subir


De la même façon que certains préfèrent s'abstenir de lire la rubrique «effets indésirables» sur la notice d'un médicament avant de l'avaler, mieux vaut ne pas poser trop de questions à son médecin sur les complications que peut éventuellement causer un traitement, et ne pas se faire trop de souci concernant sa santé.
Car la probabilité d'avoir des effets secondaires en serait nettement augmentée rapporte l'hebdomadaire bavarois SZ Magazin. C'est ce que les médecins appellent «l'effet nocebo», ce qui en latin signifie «je vais nuire», soit l'exact contraire de l'effet placebo, qui lui signifie «je vais plaire»:
«Des psychologues américains ont par exemple pu prouver que la probabilité de mourir d'une crise cardiaque est trois fois plus élevée chez les femmes quand elles croient qu'elles seraient particulièrement disposées à avoir un infarctus.» «Les sentiments négatifs augmentent chez tout le monde le danger d'avoir un infarctus, d'une façon aussi déterminante qu'une tension élevée, dit Karl-Heinz Ladwig, expert en cardiologie à la clinique psychosomatique de l'Université technique de Munich. Des symptômes tels qu'une grande fatigue ou une mélancolie dans les six mois qui précèdent un infarctus seraient si typiques que les médecins devraient prêter beaucoup plus d'attention aux troubles psychiques et aux dépressions, et pas uniquement observer les facteurs de risques classiques tels que la tension, le diabète et l'augmentation du taux de cholestérol


L'hebdomadaire Der Spiegel reprend lui les résultats d'une expérience menée auprès de patients atteints de la maladie coronarienne, à qui a été administré un traitement dont un des effets secondaires pouvait être une baisse de la libido: seuls 3% des patients qui n'en avaient pas été informés ont témoigné de difficultés au lit, contre 31% de ceux qui avaient été informés au préalable de tous les effets secondaires possibles.
Dans certains cas, l'effet nocebo peut même conduire à la mort, comme l'explique le SZ Magazin, qui cite le cas d'un Américain à qui les médecins avaient diagnostiqué un cancer du foie en phase terminale dans les années 1970, et qui pensaient qu'il ne lui restait plus que quelques mois à vivre:
«Il mourut en fait quelques semaines plus tard. Quand son corps a été examiné, les médecins s'étonnèrent pourtant: la tumeur, d'un diamètre de 3 cm, était restée assez petite, ne s'était infiltrée dans aucun autre organe et n'avait pas formé de métastases, comme l'autopsie le montra. “L'homme ne mourut pas d'un cancer mais parce qu'il croyait qu'il était en train de mourir d'un cancer”, explique Clifton Meador [chercheur à l'Université Vanderbilt, à Nashville].»
L'auteur de l'article déplore que les médecins ignorent trop souvent l'effet nocebo et ne mesurent ainsi pas la portée de leurs paroles, qui peuvent s'avérer destructrices pour la santé de leurs patients. 

Un problème pris très au sérieux par la revue médicale professionnelle Ärzteblatt, qui a publié l'an dernier une liste des expressions à bannir à l'usage des professionnels de la santé, parce qu'elles provoquent une incertitude, telles que «Peut-être que ce médicament pourrait vous aider», qu'elles sont soit négatives - «Vous êtes un patient à risques» - ou rabaissantes - «Vous n'avez pas besoin d'avoir peur» - ou encore à double sens, comme le terrible «Maintenant nous allons vous endormir, tout va être fini dans un instant» avant une opération...

Photo: Des médicaments de toute sorte. REUTERS/Jacky Naegelen
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