Le projet « Conscience globale » permettra-t-il de prévoir des événements à l'échelle planétaire ?
Extrait du livre de Jacques Mandorla
"66 tests pour développer vos capacités paranormales" (Éditions Trajectoire)
L'Américain
Roger Nelson, psychologue à Princeton (New Jersey), est le concepteur,
en 1996, du « Global Consciousness Project » (Projet conscience
globale).
Il
s’agit d’un réseau d'une soixantaine de générateurs numériques
aléatoires (G.N.A.) qu'il a mis en place en divers endroits du globe
(souvent à l'intérieur d'un ordinateur) et qui sont connectés entre eux
par Internet.
À Paris, l’I.M.I. (Institut Métapsychique International) en possède deux.
Localisation géographique de la soixantaine de laboratoires G.N.A. (points rouges) participant au Global Consciousness Project.
Mesure des émotions collectives
Nelson
a démontré, courbes statistiques à l'appui, comment les G.N.A. semblent
enregistrer la perception d'éventuelles anomalies dans la génération de
nombres aléatoires, qui seraient corrélées avec d'importantes émotions
collectives lors d'événements mondiaux.
Nelson
a obtenu des résultats prometteurs lors d'événements, comme
l'enterrement de la Princesse Diana et celui de Mère Teresa, ou encore
l'accident du sous-marin russe Koursk.
Mais l'exemple le plus caractéristique semble être celui du 11 septembre
2001, jour des attentats du World Trade Center de New York. Sur
l'ensemble du réseau, en effet, on note ce jour-là une sorte de signal
de détresse à l'échelle planétaire !
Pour le chercheur Michel Granger : « Quelque
chose a perturbé l'égrenage régulier des nombres binaires des machines
G.N.A. Comme si l'inconscient collectif défini par C.G. Jung avait subi,
à ce moment-là, une brutale crispation, apte à induire une interférence
sur les processus électroniques censés obéir aux lois du hasard.
L'homme, pris non pas individuellement mais collectivement, aurait-il
l'aptitude insoupçonnée de forcer la chance en influençant la cohérence
interne de son environnement ? Il est dommage que ce soit lors de telles tragédies que des questions aussi fondamentales soient posées ».
Sur
la courbe des attentats de New York apparaît une étrange et incroyable
anomalie : le pic émotif s'est déclenché plusieurs heures avant l'impact
du premier avion (8h45) sur l'une des tours jumelles ! Comme si une
masse importante d'individus avait pressenti le drame.
11 septembre 2001 : le pic émotif des générateurs numériques aléatoires s'est déclenché plusieurs heures avant l'impact du premier avion.
Rêves prémonitoires concernant le 11 septembre 2001
À côté des appareils électroniques type G.N.A., on note des réactions humaines individuelles issues de rêves prémonitoires.
Michel
Granger, ayant relevé l'existence de centaines de rêves de ce type
concernant les attentats du 11 septembre, a voulu en savoir plus : « Après avoir contacté plusieurs associations américaines de rêveurs, je peux dire que c'est vrai. Parmi les actes de voyance onirique qui jurent enregistrés avant, figure un email du 30 août d'une dénommée Kathy, qui parle « du crash de quatre avions qui explosent sur un aéroport, près de Boston, laissant un monceau de cendres ». Ou encore, le 3 septembre, le témoignage d'un autre rêveur qui assiste, en dormant, à l'effondrement d'un building et entend
un bruit d'avion qui s'en approche. Quand il voit les images du 11
septembre à la télévision, c'est pour lui comme une expérience de
déjà-vu ».
11 septembre 200l : la première tour du World Trade Center a déjà été
percutée par un avion détourné par des terroristes. La seconde tour va
être touchée dans quelques secondes.
Et Michel Granger de poursuivre : « Le fait que le nombre de victimes d'accidents collectifs ferroviaires, aériens et hélas aujourd'hui attentats terroristes, est toujours inférieur à celui qu'il devrait être un jour normal, continue de nous interpeller, quant à notre capacité de pressentir un danger et, inconsciemment, de l'éviter.
C'est Jean Moisset, le spécialiste bien connu des synchronicités, qui
attira mon attention sur le fait qu'un nombre anormalement élevé de passagers ne s'étaient pas présentés à l'embarquement du vol 8969 d'Air France, à Alger, en décembre 1995. Vol
qui fit l'objet, on s'en souvient, de la dramatique prise d'otages à
Marseille. En fait, comme 271 personnes avaient réservé une place dans
cet avion, il fut initialement annoncé ce nombre comme étant celui des
otages. Or, enfin d'après-midi du jour fatal, on apprenait que la compagnie aérienne française révisait à la baisse le nombre de passagers à bord, une quarantaine d'entre eux ayant raté le vol ! ».
Attentat et numérologie
De
très nombreux numérologues amateurs et professionnels ont constaté que
l'attentat du World Trade Center était placé sous le signe du nombre 11.
En plus du jour lui-même (11), ils ont relevé que :
- le 11 septembre est le 254ème jour de l'année, soit 2 + 5 + 4 = 11
- l'avion qui a percuté la première tour était le vol n°11
- le nom de la ville New York City comporte 11 lettres
- l’État de New York est le 11ème des États-Unis
-
la date de l'attentat (11 septembre) s'écrit 9-11 en transcription
américaine, ce qui donne l'indicatif téléphonique des secours d'urgence
(911).
Toutes ces coïncidences sont-elles dues au hasard ou bien s’agit-il de signes du destin ?
SOURCE : MYSTERES DE LA VIE ORDINAIRE
http://paranormal.blogspirit.com/archive/2013/08/05/mysteres-de-la-vie-ordinaire-2973739.html