Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

samedi 28 novembre 2015

LE MAGNÉTISME ?



Avez-vous un don de magnétiseur ?



Dans chaque ville, dans chaque village, on peut trouver, encore aujourd’hui, des personnes qui possèdent des dons de magnétisme. On se passe leur adresse sous le manteau, on chuchote leur nom… car connaître un bon – ou un vrai – magnétiseur est une grande chance. Pourtant, il serait faux de penser qu’il s’agit là d’un « don » exceptionnel : il y a seulement des personnes qui sont plus ou moins douées. Nous pouvons tous esquisser un dessin ou quelques notes de musique, mais nous ne sommes pas, pour autant, tous des peintres ou des virtuoses. Toutefois, à la différence de la musique ou de la peinture, il y a des centaines de personnes qui pourraient exceller dans ce domaine, mais qui ne le savent pas... Cet article ne prétend pas vous apprendre à devenir un magnétiseur ou une magnétiseuse, mais vous découvrirez peut-être, grâce à lui, que vous possédez un pouvoir de guérison.
Avant de vous proposer quelques exercices, il faut préciser qu’un thérapeute qui est en harmonie avec son patient obtient inéluctablement de meilleurs résultats. Il faut vouloir soulager la personne qui souffre, c'est un préalable obligatoire. Et si vous n'avez pas cette ambition, inutile de poursuivre la lecture de ce courrier.

Mais nous n’en sommes pas là, il s’agit surtout de savoir si vous avez ou non ce don. Demandez à une personne dont vous ne connaissez pas les troubles de santé de participer à l’expérience que je vous propose. Vous pouvez également la faire avec un animal ce qui permet d’éviter l’éternel contre-argument de l’influence psychologique. En outre, on obtient en général des résultats plus rapides et visibles sur les nourrissons et les animaux que sur les adultes car ils n’opposent pas de barrière mentale. Humain ou animal, nous appellerons ici le sujet de votre expérience, le « patient ».

Vous êtes prêt(e) ? Allons-y

En radiesthésie, il y a deux façons de procéder : la première, la plus courante, est d’utiliser un pendule avec lequel on obtient des réponses à des questions posées. La seconde est de se servir uniquement de ses mains, mais elle requiert une plus grande sensibilité. En revanche, il n’y a pas le risque d’auto-influence comme avec le pendule. Chacun choisira la méthode qui lui convient le mieux.

Premier test : détecter la maladie avec le pendule

Tout d’abord, il faut se munir d’un pendule. Vous pourrez trouver une grande variété de pendules dans les boutiques ésotériques. Ou bien vous pouvez le fabriquer vous-même. Il vous suffit, pour cela, d’un cheveu de 10 à 25 cm environ et d’une bague. En général, il s'agit d'une boule au bout d'une chainette ou d'une ficelle.
Alors se pose l’inévitable question : comment fonctionne le pendule ? Lorsque vous posez votre main sur un homme ou un animal, vous allez capter des radiations électromagnétiques qui vont être transmises à votre cerveau, un influx nerveux repartira de ce dernier vers le bras où vous tenez votre pendule et, suivant la convention mentale adoptée, le fera bouger en indiquant une réponse ; cette réponse venant du subconscient. C’est la raison pour laquelle il faut veiller à bien faire le vide mental.

La convention mentale

Il faut préciser que le pendule n’est qu’un amplificateur de vibrations et qu’en aucun cas, il n’est capable de faire des détections tout seul. Le pendule ne vous donnera pas la réponse directement, mais répondra par oui, non ou neutre. La convention mentale la plus usitée est : girations à droite = oui, girations à gauche = non, balancement horizontal ou vertical = neutre. Vous pouvez tout à fait choisir la convention contraire.

Comment tenir son pendule?

Vous pouvez prendre l’extrémité de la corde ou de la chaînette de votre pendule ou le tenir plus près de la boule, chacun trouvera la bonne distance suivant sa sensibilité. Plus votre sensibilité est importante et plus vous devez tenir votre pendule vers l’extrémité de l’attache. Avant de poser une question, exercez- vous à faire bouger votre pendule et déterminer votre convention mentale. Si vous êtes droitier, vous poserez votre main gauche sur la personne ou l’animal que vous souhaitez soulager, soit directement sur son corps ou à quelques centimètres, avec votre main droite vous tiendrez votre pendule (le contraire si vous êtes gaucher).

Faire le vide mental

Il va maintenant falloir poser une question pour obtenir une réponse. Mais en attendant la réponse, il va falloir faire le vide mental, c’est-à-dire ne penser à rien, même pas à la personne pour laquelle vous voulez en savoir un peu plus. Fermez les yeux, cela vous aidera. Détendez-vous, inspirez pendant la question, expirez en attendant la réponse. Si vous avez bien fait ce qui précède vous aurez une réponse correcte. Attention, on se laisse vite auto-influencer. Bien entendu, vous désirez que votre « patient » soit en bonne santé, si vous ne faites pas correctement le vide mental, vous aurez une réponse positive à la question est-il en bonne santé ?

Poser la bonne question

Surtout ne posez pas une question comportant une négation, comme par exemple « Robert n’est pas en bonne santé ? », pour avoir une réponse juste. Ce serait trop compliqué. Ne posez pas non plus la question « quelle est la zone perturbée? » puisque les réponses arrivent par oui, non ou neutre.
Le neutre peut signifier que vous n’arrivez pas obtenir de réponse, que vous faites un blocage, alors posez la question sous une autre forme ou reposez-vous quelques instants et recommencez. Il peut signifier également, moyen, c’est-à-dire ni en très bonne santé, ni très malade, mais simplement, manque de dynamisme, petite perturbation passagère. Ne posez pas non plus de question double, vous ne sauriez pas à quelle partie de la question attribuer la réponse, exemple: « a-t-il ce problème ou celui-là ? ».
Il vaut mieux que la première question soit d’ordre général, car si vous avez une réponse indiquant que votre « patient » n’est pas malade, cela ne sert à rien de passer toutes les parties de son corps en revue pour avoir une réponse négative pour chaque endroit concerné. Vous gagnerez du temps.
Si vous avez une réponse positive qui laisse supposer que votre patient est malade, vous pouvez continuer en posant des questions de plus en plus précises pour en arriver au point de départ du problème. Il faut procéder comme avec des poupées russes, en commençant par la plus générale pour arriver à la plus précise. En radiesthésie, il n’y a pas de mauvaise réponse mais uniquement de mauvaises questions : si votre question est bien formulée et si vous faites bien le vide mental, vous obtiendrez une réponse.
Exemple de questions à poser au pendule :
  • A-t-il une maladie d’ordre général ?
  • Est-ce un problème mécanique (dos ou articulations)?
  • Est-ce un organe en dysfonctionnement ?
  • Est-ce un problème digestif?
  • Est-ce un problème intestinal ?
  • Est-ce un problème urinaire?
  • Est-ce un problème gynécologique ?
  • Est-ce un problème pulmonaire ?
  • Est-ce un problème cardiaque ?
  • Est-ce un problème hormonal ?
  • Est-ce un manque de vitalité dû à son âge ?
  • Est-il stressé ?
Si vous avez fait l'expérience avec une personne qui connaît déjà son problème (sans vous l'avoir communiqué), dites-lui quelles sont les réponses que vous obtenez et si cela colle avec ce qu'elle sait, vous pourrez commencer à penser que vous avez un don.

Deuxième test : avec les mains

Vous pouvez également détecter les maux et affections grâce à vos mains. Avec ce procédé, vous n’aurez pas à poser des questions en vue d’obtenir des réponses positives, négatives ou neutres. La détection se fera en fonction de votre sensibilité et il n’y a pas de risque d’auto-influence comme avec le pendule.
Vous pourrez ressentir directement les zones perturbées, vous serez en relation directe avec le corps de votre patient sans passer par un intermédiaire comme le pendule.

Apprendre à ressentir

Au début, vous aurez peut-être des sensations très légères, voire même imperceptibles. Ne vous découragez pas. Avec la pratique, elles s’intensifieront.
Cette fois, faites votre test sur une personne qui a une douleur bien localisée et qui connaît son problème (douleur au genou, au dos, à l’épaule…).
Placez vos deux mains à quelques centimètres du corps de la personne et déplacez vos mains très lentement (toujours en partant du haut du corps vers le bas). Vous aurez certainement une main plus réceptive que l’autre — bien qu’on puisse ressentir avec les deux mains — vous la découvrirez en pratiquant (en général, c’est la main droite pour les droitiers et la main gauche pour les gauchers).
Lorsque vous arriverez sur une zone que vous ressentirez plus particulièrement, il s’agira sans doute de la zone perturbée. À ce moment là, restez statique sur la zone soit à quelques centimètres ou les mains directement appliquées sur le corps de la personne si cette position augmente votre ressenti. Le principal est de bien identifier la sensation, pour la reconnaître immédiatement plus tard. La perception de chacun peut être différente, mais pour la plupart des personnes qui pratiquent la radiesthésie directement avec les mains le ressenti est le suivant :
  • du chaud lorsqu’il s’agit d’une zone enflammée, ou d’un organe en hyper fonctionnement,
  • du froid ou une sensation de vide pour en organe en dysfonctionnement,
    des petits courants ou picotements pour un nerf enflammé,
  • d’autres sensations qui vous seront propres : vous découvrirez vos propres codes en pratiquant.
Certaines personnes ressentent, par une sorte de mimétisme, dans leur propre corps les zones malades de la personne ou de l’animal sur lesquels elles font une recherche de radiesthésie ! De son côté, votre patient éprouvera des sensations au passage de vos mains : chaleur, froid, petits courants, fourmillements…

Compléter le ressenti manuel avec le pendule

Après avoir ressenti la (ou les) zone perturbée, vous pourrez compléter votre recherche avec le pendule (si nécessaire), en posant des questions nécessitant des réponses que vous ne pouvez pas obtenir en détectant uniquement avec les mains, comme par exemple : Je ressens une zone enflammée au genou, est-ce dû à une chute ? Est-ce de l’arthrose ? Est-ce un autre problème ?

Avez-vous le don de soulager quelqu'un ?

Si aucune des deux expériences précédentes n'a été concluante, il est inutile d'aller plus loin. Mais si, au contraire, vous avez été vous-même surpris(e) par les résultats, je vous recommande de passer à la phase suivante qui vous permettra de savoir si vous avez un don prononcé ou pas. Mais avant cela, il faut que vous appreniez différentes terminologies.

Les passes

  • Les passes longitudinales
    De la tête aux pieds ou du début à la fin d’un membre (exemple : de l’épaule à la main ou de la hanche au pied).
    • Petit courant
      Passes lentes à effet calmant.
    • Grand courant
      Passes rapides pour recharger l’organisme affaibli, le dynamiser.
  • La passe transversale
    Elle est utilisée pour « dégager » le patient des mauvaises radiations qui l’entourent avant de pratiquer la séance de magnétisme. Elle sert également à enlever le trop plein de magnétisme après la séance. Elle se pratique en croisant les avant-bras, mains ouvertes et en les décroisant à 7-8 cm du corps du patient en descendant de la tête vers les pieds.
    Remonter toujours les mains fermées: on ne fait jamais de passes en remontant car l’effet serait démagnétisant.

Les impositions

  • L’imposition palmaire immobile
    La main ou les mains sont tenues bien à plat à 2 ou 3 centimètres du corps du patient là où se situe le problème.
  • Les mains en opposition
    Cette position des mains permet de mieux faire circuler le magnétisme à travers la partie du corps déterminée. On place la main positive à plat devant l’endroit malade du et la main négative également à plat en opposition, derrière.
  • L’imposition digitale
    Les doigts d’une ou des deux mains sont regroupés en fuseau comme pour former une petite pince. Ce procédé permet de magnétiser plus en profondeur ou de magnétiser une surface plus réduite (yeux, oreilles…). On peut élargir ou diminuer la largeur de cette pince formée par les doigts en fonction de l’importance de la zone à magnétiser.
  • L’imposition digitale circulaire
    Les doigts sont placés dans la même position que pour l’imposition digitale, mais ils ne sont pas statiques. On décrit des cercles dans le sens des aiguilles d’une montre, plus ou moins grands suivant la taille de la zone à traiter.
    Cette technique est utile pour magnétiser plus en profondeur, sur une plus grande surface et sert également à dynamiser la zone magnétisée (constipation, vésicule paresseuse…)
  • L’application
    L’application consiste à appliquer la ou les mains sur la zone à traiter en contact avec le corps du patient. Elle a un effet calmant.
  • L’effleurage
    L’effleurage est un frôlement léger des mains sur le corps. Ce sont des passes longitudinales pratiquées lentement, avec contact, de la tête vers les pieds. À ne pas confondre avec la friction qui agit plus énergiquement sur la circulation sanguine, alors que l’action de l’effleurage se fait sentir sur le système nerveux. L’effleurage a un effet calmant.
  • La friction
    La friction est une sorte de « massage magnétique ». Elle permet d’accélérer la circulation du sang et de réchauffer. Elle se pratique en frottant la main sur la zone malade. C’est un geste qui fait partie de notre quotidien: en effet, pour se réchauffer les mains, on les frotte l’une contre l’autre.

Aller plus loin… revitaliser quelqu’un

Entrons maintenant dans le vif du sujet. Je vous livre ici une façon de procéder pour une action simple : revitaliser une personne.
Cette séance se pratique pour redonner de la vitalité à une personne lorsqu'elle est :
  • fatiguée,
  • malade,
  • en période de croissance,
  • en période de grossesse ou d’allaitement,
  • en convalescence après une intervention chirurgicale,
  • ou simplement âgée.
Le magnétisme, fondé sur le contact direct avec le corps peut être d’un bon secours dans de nombreux cas simples ou dans des situations chroniques n’ayant pas pu être résolues autrement.
Phase un
1. Couchez la personne confortablement, soit sur une couverture soit sur un tapis posé sur le sol ou sur une serviette posée sur une table. Posez votre main sur elle, calmement avant de commencer la séance pour la mettre en confiance.
2. Procédez à une détection (pour ceux qui auront fait cette détection uniquement au pendule) en passant les mains à quelques centimètres du corps de la tête aux pieds pour essayer de capter la ou les zones déficientes avant de commencer la séance de magnétisme.
Phase deux
1. Dégagez votre patient des ondes négatives par des passes transversales en croisant les avant-bras, mains ouvertes et en les décroisant à 7-8 cm du corps en descendant de la tête vers les pieds (quelques secondes),
2. Faites lever votre patient et mettez vos mains de manière à former un toit à deux pentes à environ cinq centimètres au-dessus de sa tête (une minute),
3. Descendez votre main positive (celle où vous avez le plus de ressenti) l’appliquant quelques secondes à chaque fois jusqu’à ce que cette main rejoigne la main négative qui se trouve au bas de la colonne vertébrale (deux minutes).
Phase trois
Placez de nouveau les mains au dessus de sa tête et descendez-les en opposition, jusqu’au bout des pieds, la main positive devant lui et l’autre derrière en faisant trois à quatre passes longitudinales (de la tête aux pieds) à grand courant (rapides pour les personnes affaiblies, et lentes pour les personnes nerveuses) pendant quelques secondes. Ces passes auront également pour effet de répartir l’énergie dans tout son corps (une minute).
Nota : si votre patient doit rester couché, procédez de la même façon, sans mettre les mains en opposition, c’est-à dire en les plaçant au-dessus de sa tête et en les faisant descendre le long du corps jusqu’au bout de ses jambes.

À ne pas oublier

Penser, pour toutes les passes, à descendre les mains ouvertes, ensuite à les secouer comme si elles étaient mouillées et que vous vouliez les égoutter, et à les remonter fermées. Le temps que j’indique ici est donné pour que vous ayez une idée de la durée de chacune des phases de la séance mais vous pouvez le prolonger ou le diminuer sans pour cela altérer les effets de la séance.
Lorsque vous faites une séance de magnétisme associez à vos passes magnétiques votre désir très fort de soulager, vous pouvez même visualiser la personne en bonne santé, ne souffrant plus. À la fin de la séance, il faudra que vous répartissiez l’énergie que vous avez transmise à votre patient avec quelques passes à grand courant.
Après chaque séance, passez vos mains et avant-bras sous l’eau tant par hygiène que pour neutraliser les ondes négatives.

Plusieurs petites choses avant de conclure
que vous avez un don

Le magnétisme ne fonctionne que comme un déclencheur. Il permet au malade de recevoir l’énergie qui lui manquait pour combattre la maladie. Le « récepteur » déclenche alors en lui un processus d’auto-guérison. En effet, l’être vivant dispose naturellement de toutes les ressources nécessaires pour être en bonne santé, mais il faut que la répartition énergétique soit harmonieuse dans le corps et un seul point déficient permet à la maladie de s’installer.
Il se peut que votre patient réagisse quelques heures, voire quelques jours (trois jours au maximum) après une séance de magnétisme. Ces réactions sont appelées crises de retour et se traduisent par exemple par une poussée d’eczéma, des douleurs accentuées ou de la fatigue. C’est que l’organisme réagit et qu’il lutte contre le problème. Ces réactions interviennent jusqu’à la troisième séance. Après, il n’y a plus de réactions. Mais tant qu’il y a des réactions, c’est le signe que le problème est toujours présent et que l’organisme travaille.
Parfois les réactions arrivent à un endroit où on ne les attendait pas (vous magnétisez pour une perte de cheveux et ce sont ses articulations qui réagissent). Cela indique que le problème était latent, et que le magnétisme a été le facteur déclenchant.
Il faut savoir que le magnétisme ne déclenchera jamais des réactions pour des problèmes qui n’existent pas. Il est possible que votre patient n’ait pas de réactions et qu’il aille mieux directement. Dans ce cas, les résultats sont, en général, moins durables.
La durée des séances varie entre 10 et 20 minutes. La première séance sera toujours un peu plus longue car vous découvrirez votre patient.
La séance sera impérativement de 10 minutes si :
  • vous ressentez que votre patient est très réceptif (s’il s’endort pendant la séance),
  • vous pratiquez sur une personne âgée ou au contraire âgée de seulement quelques mois,
  • la personne est affaiblie par sa maladie.
Si vous constatez des résultats, pratiquez plusieurs séances : une séance par semaine pendant trois semaines de suite. Puis laissez votre patient au repos pendant deux semaines et refaites une séance, attendez encore une quinzaine de jours et jugez le résultat final. Si votre patient va mieux vous pourrez attendre un mois et faire une dernière séance. Si il a encore des problèmes, mais qu’il a une légère amélioration vous pouvez continuer à faire une séance par semaine pendant trois semaines de suite et vous arrêter. Continuez les autres traitements
Il n’y a aucune interaction possible entre le magnétisme et les traitements médicaux, leur action sur l’organisme n’étant pas la même et les deux thérapies étant complémentaires.
Voilà, maintenant vous êtes prêt pour une expérience, dont j'espère qu'elle influencera profondément votre vie.
Attention : Les conseils prodigués dans cet article ne vous dispensent pas de consulter un praticien des médecines alternatives. Vous pourrez en trouver un près de chez vous .
 Léonard Katz et Myriem Lacroix Breton
 http://www.alternativesante.fr/medecine-energetique/avez-vous-un-don-de-magnetiseur