Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

samedi 14 janvier 2012

Conscience et coma :

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Conscience et coma :
un miraculé relance le débat

© J Jezequel
Qu’est-ce que le coma ? La reprise régulière dans les médias de cas défiant les connaissances scientifiques actuelles témoigne de l’intérêt suscité par ce sujet. Le quotidien Le Figaro, dans son édition du 10 janvier, revient sur l’histoire de Robin, un adolescent marseillais foudroyé en 2007, à l’âge de 13 ans. Tombé dans un profond coma, les médecins le donnaient pour mort, « cerveau grillé ». Il a pourtant repris conscience, à l’âge de 17 ans.

De nombreux examens restent à faire pour évaluer si le jeune homme a retrouvé l’usage de toutes ses facultés. Reste que l’état de santé du « miraculé » s’améliore doucement. Généralement, l’état dit végétatif  est « considéré comme permanent lorsqu’il n’y a pas d’amélioration après une période variant de trois à douze mois » notait en 2005 le neurologue Steven Laureys, dans un article consacré à « la mort, l’inconscience et le cerveau. »

Un autre cas de figure retient l’attention, celui des personnes qui affirment avoir été conscientes tout en étant diagnostiquées en état de coma. En février 2011, l’émission Sept à huit a diffusé le portrait d’Angèle, une femme affirmant avoir vécu toute la période de son coma consciemment, mais incapable de communiquer, « emmurée vivante, plongée dans le noir, les yeux fermés. » Non seulement elle dit avoir entendu tous les commentaires de sa famille qui la pleurait, mais elle assure avoir ressenti une grande douleur physique lorsque le médecin a pratiqué des tests destinés à prouver sa mort cérébrale irréversible. A ce moment-là, c’est une larme qui l’a sauvée.

En 2006, des exemples similaires avaient déjà défié la chronique : une jeune Anglaise plongée dans un état végétatif, étudiée avec un IRM fonctionnel, était capable d’une activité cérébrale normale lorsqu’elle s’imaginait jouer au tennis ou faire son ménage ; Tim, jeune américain tombé dans un état végétatif après un coma, fut capable au terme de 19 ans de silence, de parler à nouveau. En novembre 2011, une étude parue dans la revue médicale The Lancet concluait à la persistance de fonctions cognitives et d’une attention consciente chez des personnes pourtant diagnostiquées en état végétatif. Sur un échantillon de 16 personnes étudiées, trois étaient capables de saisir des instructions orales et d’y répondre par une activité cérébrale.

Comme le souligne Steven Laureys, les cas exceptionnels ne doivent ni susciter trop d’espoir, ni justifier l’acharnement thérapeutique. Reste qu’ils posent clairement la question des rapports entre la conscience et l’activité cérébrale. 

article source INREES