Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

lundi 6 février 2012

histoires "improbables".


Histoires de synchronicité

Certains événements de sa vie resteront gravés dans sa mémoire à jamais. A 84 ans, le géographe Claude Collin Delavaud n’a jamais pu oublier ces histoires « improbables » qui l’ont progressivement invité à porter un autre regard sur le monde. Comme ce jour où sa mère, à distance, l’a senti en danger. Ou toutes ces rencontres inattendues « trop incroyables pour être dues au hasard ».
Agrégé et docteur d’État de géographie, professeur émérite de géopolitique, ancien directeur du Centre de recherche sur l'Amérique latine au CNRS, et vice-président de la Société des explorateurs français, ce grand voyageur, pourtant très cartésien, avoue croire aujourd’hui aux phénomènes synchronistiques. Il raconte.

« Un après-midi d’avril 1968, je suis parti en bateau avec mes deux enfants au large des Iles de Lérins, en face de Cannes. Sans vraiment comprendre ce qu’il s’est passé, notre voilier soudain s’est retourné. Peut-être une erreur de manip. Au même moment, ma mère, restée à la maison, s’est tout à coup levée vers la fenêtre. Prise d’une angoisse incontrôlable, elle a lancé à mon beau-père : « Claude et les enfants sont dans l’eau. Il leur est arrivé quelque chose. »

Nous étions à trois kilomètres et demi du rivage, et totalement en dehors du champ visuel de la fenêtre. « Mais enfin, tu ne peux rien voir d’ici ! », lui rétorque son mari pour tenter de la rassurer. Même avec une paire de jumelles, ma mère n’aurait en effet jamais pu repérer d’aussi loin un voilier couché et trois têtes hors de l’eau. Elle a alors demandé à son mari de l’accompagner rapidement jusqu’au port. Malgré son insistance, mon beau-père a refusé de l’entendre. Mais ma mère, sûre d’elle, s’est obstinée. Elle s’est rendu jusqu’au port, pour trouver un petit bateau et nous porter secours. Aussi incroyable que cela puisse paraître, elle est parvenue, sans nous voir, à guider le pilote jusqu’à l’endroit où nous nous trouvions, mes enfants et moi. Après avoir passé plus d’une heure dans l’eau froide, nous avons été soulagés de voir ma mère arriver. Comment a-t-elle pu savoir que nous étions en danger ? Comment appelle-t-on ce type d’expérience ? Un pressentiment ? De la télépathie ? Je ne sais pas mais jamais je n’oublierai ce moment.
D’autres événements du même type ont jalonné ma vie. Moins spectaculaires mais dans des circonstances tout aussi invraisemblables.

Comme ce jour de 1972, à Orizaba, une ville au sud-est de Mexico où je n’avais jamais mis les pieds. J’étais avec ma femme. En nous baladant, nous décidons de changer d’itinéraire et de nous diriger vers une place. Là, au détour d’une rue, je tombe nez à nez avec Robert, un homme que je connaissais pour avoir travaillé avec lui au CNRS. Il s’était perdu et ne comprenait même pas pourquoi il s’était retrouvé là !
Huit ans plus tard, je suis sur la route de St Lawrence, entre Québec et Montréal. Normalement, ce n’est pas celle que j’aurais dû emprunter mais je ne sais pas pourquoi, cette fois-là, j’ai eu envie de changer d’itinéraire. A une bifurcation, je me trompe de chemin, et décide de faire demi-tour devant une aire de restaurant. En face, dans le sens contraire, une voiture roulait au pas pour rejoindre la station service attenante au resto. Lui aussi s’était trompé de route. Mon regard croise celui du conducteur. Nous nous reconnaissons immédiatement. Robert ! C’est la première fois qu’il venait au Canada, moi la deuxième. Ni l’un ni l’autre, nous n’arrivions pas à croire à une telle coïncidence !
Cette deuxième rencontre nous a complètement abasourdis ! Ces hasards – que je me risquerai à nommer « synchronicités » – ont resserré nos liens. Dès lors, nous sommes devenus amis.

Je ne sais pas comment ces rencontres improbables se produisent. Ni comment ma mère a fait pour savoir que mes enfants et moi étions en mauvaise passe. Avec l’âge, et l’expérience, je crois de plus en plus en quelque chose de surnaturel mais je suis incapable de lui donner un nom. Ce que j’ai vécu arrive à beaucoup de gens mais personne n’ose en parler. Pourtant, certains peuples très simples, comme les Indiens d’Amérique du sud que j’ai eu la chance de rencontrer au cours de mes voyages, vivent au quotidien des expériences qu’on ne peut expliquer. Par exemple, vingt-quatre heures avant d’arriver dans un village au cœur de la forêt amazonienne, les habitants savaient que je venais leur rendre visite. Beaucoup de peuples amérindiens sont capables de sentir et d’obtenir des informations lointaines, dans le temps et dans l’espace. En plus de ces visions, j’ai pu constater qu’ils possédaient des facultés de guérison prodigieuses. Je pense que nous avons tous en nous ces capacités-là mais l’Homme, dénaturé par le monde moderne, coupé de son lien avec l’environnement, est en train de les perdre. »