Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

jeudi 21 juin 2012

17 JOURS APRES...............................

Des cellules toujours vivantes
17 jours après la mort

Dix-sept jours après la mort, des chercheurs auraient trouvé des cellules souches toujours bien vivantes dans les cadavres humains. Perspectives de cette surprenante découverte avec Jean-Yves Nau. (Lu sur Slate.fr)
© REUTERS/Desmond Boylan
Il est des publications médicales qui pour un peu vous feraient froid dans le dos. Comme celle que signent dans la revue en ligne Nature communications un groupe de chercheurs dirigé par Shahragim Tajbakhsh et Fabrice Chrétien.

Ils travaillent dans cette Mecque de la science du vivant que demeure l’Institut Pasteur. Avec leurs collaborateurs (Mathilde Latil, Pierre Rocheteau, Laurent Châtre, Serena Sanulli, Sylvie Mémet et Miria Ricchetti), Tajbakhsh et Chrétien viennent de découvrir l’existence jusqu’ici ignorée d’un réservoir de cellules souches toujours bien vivantes présentes au sein de tissus musculaires de cadavres humains dont le cœur ne battait plus depuis dix-sept jours.


On peut, comme le fait l’institution pastorienne, ne voir là qu’un nouveau et précieux gisement de matériel cellulaire thérapeutique. Demain les cadavres humains pourraient fournir, outre des organes et des tissus destinés à être greffés sur des vivants, des cellules capables de redonner vie à des pièces dégénérées de corps vieillissants. On peut aussi, raisonnablement, soulever quelques questions complémentaires.

Comment l’équipe française a-t-elle pu en arriver là? «L'idée de ces expériences m'est venue en observant au microscope des cellules musculaires prélevées lors d'une autopsie, explique simplement, dans Le Figaro, Fabrice Chrétien, spécialiste de neuropathologie à l’hôpital Raymond Poincaré de Garches et professeur à l'université Versailles Saint-Quentin. Alors même que toutes les cellules de leur environnement étaient complètement détruites, ces cellules souches conservaient un bel aspect». Pourquoi diable une telle performance?

Comment comprendre que des cellules, fussent-elles souches, puissent survivre dans un environnement sans oxygène et très précisément aux antipodes de la vie? Un peu à la manière des mammifères entrant en hibernation. Pompe cardiaque comme désamorcée. Respiration bien en dessous de ce que l’on tient généralement pour être le minimum vital; et sommeil plus que profond donnant l’apparence de la mort. Mais le tout à l’échelon cellulaire.

On parle ici d’état de quiescence. Plus précisément le spectaculaire tient au fait que ces cellules se débarrassent des mitochondries — ces organites qui, présents, en leur sein leur servent à respirer. Les chercheurs n’expliquent pas les raisons premières qui poussent ces cellules à agir de la sorte. Ils ne nous éclairent pas non plus sur la durée de cette hibernation microscopique. Pour savoir si les dix-sept jours peuvent être dépassés il leur faudrait désormais disposer de cadavres plus âgés...