Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

mardi 4 juin 2013

Françoise Hardy : "Une médium m'a ouvert la voie"

Chaque mois, une personnalité revient sur un moment de prise de conscience spirituelle ou existentielle. Ce mois-ci, Françoise Hardy.
Elle vous accueille avec gentillesse dans son appartement parisien, se love dans son canapé, disponible pour évoquer sa démarche spirituelle.
D’emblée, on découvre une Françoise Hardy passionnée par le sujet : « La question spirituelle m’a toujours taraudée… Dieu comptait beaucoup dans mon enfance. J’étais une petite fille très pieuse ! J’ai baigné dans le catholicisme, avec lequel j’ai pris mes distances à l’adolescence. Trop de pesanteurs, de moralisme… Il m’a fallu tâtonner pour trouver d’autres voies. »
L’époque tourne alors le regard vers l’Orient et ses sagesses millénaires.
Après le tourbillon du vedettariat « peu propice à l’intériorité », Françoise Hardy fréquente les rayons « spiritualités » des librairies. Elle découvre le maître indien Krishnamurti. Mais elle finit par le trouver « déconnecté des réalités quotidiennes ». Un ami lui offre alors les Dialogues avec l’ange (de Gitta Mallasz (Aubier, 2007)), transcription d’une expérience spirituelle vécue pendant la Seconde Guerre mondiale par une jeune Hongroise, qui transmet des « paroles de vérité » dont elle affirme qu’elles ne viennent pas d’elle. Un livre qui prépare sans doute Françoise Hardy à l’une des grandes rencontres de sa vie…
L’idole de « tous les garçons et les filles » des années 1960 vient de publier L’Amour fou (Albin Michel, 2012), un roman dense où sentiment rime avec déchirement. Dans la foulée, Françoise Hardy nous offre aussi dix superbes nouvelles chansons (album L’Amour fou, EMI Music, 2012).
« Un jour, un journaliste suisse m’a passé un enregistrement intitulé “Omnia Pastor”. Omnia est le pseudonyme d’une médium qui a transmis la pensée de Pastor, surnom d’un guide spirituel non incarné… J’ai immédiatement adhéré à ses réponses lumineuses. » Ce qui intéresse Françoise Hardy dans la pensée d’Omnia Pastor, c’est notamment la manière qu’elle a de démonter les arguments selon lesquels la présence du mal rend impossible l’existence d’un Dieu.

« On croit que Dieu est un Père bienveillant qui doit protéger ses enfants, et on ne Lui pardonne pas tous les malheurs inhérents à la condition terrestre qui, le plus souvent, ont l’homme pour cause ! Ou bien on voit de la “cruauté divine” dans des cataclysmes qui ne sont que les conséquences des lois qui régissent le monde matériel. »

A découvrir Les confidences de Françoise Hardy et de Thomas Dutronc sur notre divan : Françoise Hardy-Thomas Dutronc : Mère et fils dans l’intimité.
Françoise Hardy n’hésite pas à se dire croyante. « Je ne crois pas au Père omnipotent des catholiques, mais en un principe créateur, une supraconscience. De même qu’il y a des hiérarchies ici-bas – le minéral, le végétal, l’animal, l’humain –, je crois qu’il y a aussi des hiérarchies dans l’au-delà, auxquelles appartiennent des êtres intermédiaires entre Dieu et nous, et qui correspondent à des paliers de l’évolution spirituelle. Lorsqu’un proche ne va pas bien ou que je ne vais pas bien, je m’adresse à ces êtres invisibles pour qu’ils nous aident à acquérir la force de supporter les malheurs inhérents à notre condition humaine. »
Elle n’en dira pas davantage : « Il est aussi difficile à la bactérie d’imaginer l’homme qu’à l’homme d’imaginer Dieu, cet absolu inconnaissable… »
Avril 2013
Bertrand Révillion