Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

samedi 21 janvier 2012

Parlons de ……. Méditation.


Parlons de ……. Méditation.
La méditation est  comme on le dit aujourd’hui  " très tendance " pas un journal, une revue ou un article Internet qui échappe à cette tendance.
La méditation est donc devenue un phénomène de mode et pourtant …….
  
Méditer ultime recours contre le stress:

Le stress insistant et incessant dans notre vie de tous les jours, au travail ou dans  nos relations personnelles, ne nous permet pas de nous recentrer sur nous-mêmes.
Nous seuls pouvons par notre volonté, changer comprendre et trouver une solution.

La méditation ne veux pas dire tomber dans l’excès contraire,  et ne plus faire que se poser dans une pièce et attendre pour enfin atteindre le calme et le repos.

Comment méditer pour vous,  pour moi, pour Monsieur  et Madame tout le monde:
Ce mot magique qui commence seulement à prendre du sens pour la plupart des gens, ne veut pas dire entrer dans un état contemplatif  que l' on observe chez certains moines, mais tout simplement à travers des activités relaxantes à la portée de tous, trouver enfin un peu de détente et de calme.
Il suffit d’écouter  ou de jouer de la musique, de peintre ou dessiner, de se balader en forêt dans un endroit calme ou même assis dans un bon fauteuil ou couché sur son lit, de tout simplement se laisser aller à des pensées qui se suivent et glissent sur vous sans jamais les arrêter ni les analyser.
L'important étant une détente totale, un lâcher prise et surtout un  moment  avec soi-même qui peut parfois se révéler très compliqué pour certaines personnes.

Faut il pratiquer souvent :
Le mieux est  de pratiquer tous les jours un petit peu, sans vouloir en faire trop, surtout au début et de progresser à son rythme, 10 à 15  minutes  suffisent, qui augmenteront au fil du temps et de votre plaisir à retrouver cet état que je qualifie souvent de "état de conscience modifiée " et surtout voulue. Certaines revues vont jusqu'à dire que méditer même 3 minutes aura sur vous un effet bénéfique, je n en crois rien , 3 minutes étant quand même un laps de temps très court pour atteindre un état de calme intérieur, si la régularité n’est pas possible utilisez cette pratique dans les moments de tension extrêmes ou si vous éprouvez des difficultés à vous endormir.

Réfléchir ou méditer:
Attention à ce piège qui consisterais  à prendre ce temps pour explorer  des idées ou des pistes qui n'auront rien à faire dans ce contexte, méditer est se laisser aller et glisser comme au fil de l eau, sans  rien approfondir,  ni surtout retenir ses idées, méditer c’est faire le vide   en soi en  évacuant toutes les pensées négatives et répétitives.
La méditation et la réflexion sont des contraires, les pensées ne doivent jamais pendre le pas les une sur les autres, il ne j'agit pas non plus de s'entraîner à ne pas penser, on récupère en quelques sortes toutes les pièces éparpillées du puzzle pour le reconstituer.

La dépendance à la méditation :
Méditer quelques minutes par jour ou plusieurs heures est très personnel, cependant être bien conscient de ses besoins  et se retrouver en soi est une bonne chose, être  accro   à  méditations en est une autre, cela ne doit pas devenir un refuge contre les difficultés de la vie et servir à ressasser  ses échecs, car dans ce cas là mieux vaut voir un médecin, il s’agira d'avantage de déprime que de méditation.
Ne pas se poser non plus pendant ces exercices de méditations des questions existentielles (qui suis- je ?)
"Méditer c’est faire le vide et se laisser aller à recevoir, laisser passer les sons,  les images, les sensations, ne s'accrocher à rien,  n'être plus qu'un canal." (1)
La méditation active ou passive, réclame de toute façon du calme, décrochez votre téléphone, éteignez  votre poste de  télévision, isolez-vous dans un endroit sans bruit.
La méditation est un moyen pour se ressourcer, pas pour en faire un but en soi, elle doit être comprise dans un but de détente et ne pas être exercée de façon  exagérée.

RESPIREZ,  RELAXEZ- VOUS,  MEDITEZ : Votre santé, votre équilibre et votre stress en seront grandement améliorés.
(1 )Bibliographie:: MENTALISME -Pascal de Clermont /Pascal Colombani.

Le terme méditation (du latin meditatio) désigne une pratique mentale ou spirituelle. Elle consiste souvent, mais pas nécessairement, en une attention portée sur un certain objet de pensée (méditer un principe philosophique par exemple, dans le but d'en approfondir le sens) ou sur soi (dans le but de pratique méditative afin de réaliser son identité spirituelle). La méditation implique généralement que le pratiquant amèneson attention de façon centripète sur un seul point de référence

 Une brève introduction à la méditation zen : 

Particularité du bouddhisme : "la pratique de la méditation ne vise pas à atteindre un état particulier mais à développer une attention vivante, moment après moment, à ce qui se passe".
Le point avec FABRICE MIDAL , philosophe et spécialiste du bouddhisme :

Si l'on en croit l'exemple du Bouddha, il vous faut pour méditer :
Premièrement, un arbre dit ficus religiosa.Il est vrai qu'une fois le Sage du clan des Shâkya s'accommoda d'un parasol formé des sept têtes d'un dieu serpent. On peut également se retirer dans un ermitage de montagne. Mais une simple pièce fera tout aussi bien l'affaire. Dans ce cas, on la prévoira silencieuse, ni trop chaude l'été, ni trop froide l'hiver, ni trop éclairée en journée, ni trop sombre en soirée.
Deuxièmement, un coussin d'herbes dit kusa. Le Bouddha utilisait également un siège de diamant. Mais on peut tout aussi bien se contenter d'un coussin ordinaire. Dans ce cas, on le prévoira suffisamment épais afin de croiser les jambes sans difficulté.
Troisièmement, un corps. C'est là l'élément le plus important pour lequel les maîtres et autres yogis n'ont guère prévu d'alternative. Peu importe d'ailleurs qu'il soit revêtu des trente-deux marques majeures d'un Éveillé ou qu'il s'agisse d'un vulgaire sac de peau comme disaient les maîtres chan. Désolé donc si vous êtes un robot qui explorez maintenant ce site. Il faut être franc : vous ne pourrez expérimenter cette méditation. Voici donc un kôan de consolation : sous l'arbre on pose le coussin, sur le coussin on pose le corps, sur le corps on pose l'esprit, mais sur l'esprit que pose-t-on ?
Reprenons pour les autres. Assis les fesses sur le coussin, vous croisez les jambes en lotus ou en demi lotus. Vous redressez le buste et gardez la tête droite, les yeux mi-clos, le regard tombant vers le sol. Vous posez ensuite les mains dans le giron. La respiration passe naturellement par le nez. Et vous vous contentez d'être assis.
Si vous suivez cette première instruction, vous n'aurez vraisemblablement que le sentiment d'être banalement assis. Rester dans cette position pendant une demi-heure pourra même vous sembler interminable. Il faut peut-être alors savoir utiliser une méthode. Par exemple, suivre le mouvement de la respiration : elle passe par le nez, elle emplit les poumons, elle repart. Mais une fois l'esprit unifié, vous devrez abandonner cette technique.
Car on reste bien finalement assis simplement sans se préoccuper du vrai et du faux, d'une technique ou d'une absence de technique. L'esprit unifié, on entre alors dans un état de profond apaisement. Apaisement n'est même pas le mot juste, car la paix s'oppose encore au tourbillon, aux difficultés. Dans cet état d'abandon, une telle opposition n'a même plus de sens.
Ne dites pas : "Pourquoi méditer ?" Car il s'agit précisément là de jouir d'un état sans pourquoi.

À vrai dire, la méditation zen est une perte de temps. 
Qui pourrait la recommander ?
A voir aussi : les 10 cours de méditation en vidéo de Fabrice MIDAL  



Philosophe et spécialiste du bouddhisme Fabrice Midal enseigne la méditation bouddhiste depuis plus de quinze ans. Il est notamment l'auteur de Risquer la liberté (Seuil), et de Et si de l'amour, on ne savait rien (Albin MIchel). Il a fondé l’association Prajña & Philia pour établir un bouddhisme occidental en dialogue avec la philosophie et la poésie d’Occident.
En savoir plus : http://www.prajna-philia.com/index.php