Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

jeudi 25 octobre 2012

NOTRE DESTIN.

Notre destin ne se résume pas
aux statistiques

Faut-il croire les statistiques pour envisager la finalité de notre destin ? Daniel Tammet est ce que l’on appelle un autiste savant. Considéré comme un « génie » des nombres, il évoque lors du TEDxParis 2012 la question des statistiques autour de l’espérance de vie ayant tendance à nous condamner.
 © TED

2030. C'est l'année de référence que prend Daniel Tammet, déclaré autiste asperger à l’âge de 25 ans, pour illustrer son discours lors de l'évènement TEDxParis. « Imaginons que la moitié des 1200 personnes présentes dans la salle ont en moyenne 40 ans aujourd’hui. Elles auront donc 58 ans en 2030. Combien seront encore vivantes à cette date ? Selon la table de mortalité, 85 personnes présentes dans la salle ne seront plus de ce monde en 2030. »


Puis Daniel Tammet explique que ces chiffres ne sont pas des lois, car nous sommes aussi « des créatures de hasard, de sentiments et de rêves ». Il cite ensuite l’exemple de Stephen Jay Gould, paléontologue américain, à qui les médecins ont annoncé une forme de cancer rare et incurable en 1982 ne lui laissant, selon les calculs, qu’une « médiane » de huit mois d’espérance de vie, alors qu’il n’était âgé que de 40 ans. Décédé vingt ans plus tard, il a toujours refusé de se laisser condamner par des statistiques.



Doté d’une volonté d’acier et d’un intense désir de vivre, il s’est attaché, dès l’annonce de son diagnostique à se concentrer sur les informations optimistes. Il expliquait volontiers à son entourage que
« les moyennes concernent les populations, pas les personnes ». Il finit par s’en sortir, et deux ans après sa rémission, écrit un article intitulé « La médiane n’est pas le message » en référence aux statistiques concernant ses chances de guérison. Vingt ans après l’annonce de son cancer, il publie son dix-septième livre et sa plus grande œuvre intitulée « La structure de la théorie de l’évolution ». Il meurt finalement deux mois plus tard, des suites d’un autre cancer n’ayant aucun lien direct avec le premier.

Finalement, qui peut vraiment dire si nous serons vivants en 2030 ?
Comme le rappelle Daniel Tammet, « l’essence de la nature humaine n’est-elle pas dans son infinie variété ? » Et comme le soulignait Stephen Jay Gould : « La variété est la réalite. »