Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

lundi 3 décembre 2012

POURQUOI J 'AI MAL PARTOUT, TOUT LE TEMPS !!

D'où viennent
nos douleurs chroniques ?

Comment déterminer pourquoi, à la suite d'un accident chez deux personnes, l’une cesse d'avoir mal au bout de quelques jours et l'autre développe une douleur chronique à vie ? Une neuroscientifique propose un début d'explication.
© indi.ca
Depuis cette chute il y a quelques années, vous continuez à avoir souvent mal au dos. Les médicaments vous soulagent quelques temps, puis la douleur revient. Et si cette souffrance était… dans votre tête?

Une étude a été réalisée afin de déterminer pourquoi, à la suite d’un même accident ou choc chez deux personnes, l’une cesse d’avoir mal au bout de quelques jours et l’autre développe une douleur chronique à vie. La neuro-scientifique Vania Apkarian de Northwestern University (Chicago) a mené l’expérience. Elle explique au Huffington Post :

« C’est vraiment la première fois que, si deux sujets ont le même type de blessure depuis le même laps de temps, nous pouvons prédire lequel va développer une douleur chronique. »


L’équipe a commencé l’étude avec trente-neuf personnes qui souffraient de douleur au dos depuis un à quatre mois. L’année suivante, les patients ont passé quatre scanners du cerveau à intervalles réguliers. En décembre, vingt personnes ne ressentaient plus rien quand dix-neuf continuaient à souffrir.

Les scanners ont révélé des différences dans le cerveau présentes dès le départ entre les deux groupes de personnes. Les patients dont la souffrance a rapidement disparu ont présenté une connexion entre le cortex préfrontal et le noyau accumbens défaillante. Ceux qui ont développé une douleur chronique avaient, au contraire, une excellente connexion.

Lors d’une interview au le LA Times, Vania Apkarian a expliqué :

« Le noyau accumbens est relatif au sens des valeurs, au jugement et à la motivation. Le cortex préfrontal est impliqué dans la douleur aiguë et chronique. »


Les scientifiques pensent qu’un lien solide entre ces deux parties du cerveau pourrait indiquer au cerveau de développer des douleurs chroniques.

Ils ont également découvert que les patients dont la souffrance ne s’est pas effacée au fil du temps ont perdu beaucoup plus de neurones que des personnes saines.

Ces résultats, publiés dans Nature Neuroscience, permettraient dans un premier temps de déterminer quel type de patient risque des douleurs chroniques. A long terme, des médicaments pourraient voir le jour permettant de «détériorer» la connexion du cerveau concernée.