Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

vendredi 12 juillet 2013

LE SECRET DE LA PETITE VOIX INTÉRIEURE


Le secret de notre «petite voix intérieure» révélé

Les chercheurs du centre de recherche en neurosciences de Lyon ont réussi, pour la première fois, à «voir» la manifestation de la «petite voix» de notre cerveau.
Quand nous lisons ou nous parlons à nous-même pour réfléchir, notre cerveau génère une impression sonore qu'il interprète de la même façon qu'une voix réelle extérieure, ont découvert des chercheurs français.
Nous avons tous fait l'expérience de cette petite voix intérieure qui nous accompagne au long de la journée et de nos pensées. Mais son origine et la façon dont elle est perçue par le cerveau restaient encore mystérieuses. Une équipe d'experts du centre de recherche en neurosciences de Lyon et du CHU de Grenoble vient de lever le voile sur cet étrange phénomène dans une étude publiée mercredi dans The Journal of Neuroscience.

Pour mener leur expérience, l'équipe de Jean-Philippe Lachaux, directeur de recherche à l'Inserm, a suivi quatre adultes atteints d'épilepsie sévère qui, dans le cadre de leur traitement et de leur suivi médical, vivent avec des électrodes implantées dans le cerveau, ce qui permet d'obtenir d'excellents signaux à l'encéphalogramme. Après avoir repéré dans le cortex auditif la zone précise qui réagissait au son de voix extérieures, réellement exprimées, les chercheurs ont demandé aux volontaires de lire en silence un texte défilant sur un écran, sans leur donner d'instructions particulières.

«Le cerveau crée le son à partir de rien»

Résultat: la zone du cerveau qui analysait les voix externes s'activait également pendant la lecture silencieuse, signalant une «pensée verbalisée». «Pour la première fois, grâce à cette étude, nous avons pu «voir» en temps réel la trace de cette petite voix , résume Jean-Philippe Lachaux. Nous ne nous y attendions pas forcément car il s'agit d'un phénomène très immatériel. Le cerveau crée le son à partir de rien, à chaque mot».
L'hypothèse la plus probable serait que l'association entre sons et mots que nous apprenons à faire enfants quand nous commençons à parler puis lorsque nous commençons à lire à voix haute devient un automatisme qui persiste tout au long de notre vie. «Cette association entraîne une augmentation des connections entre les zones du cerveau impliquées, qui en viennent à s'activer spontanément l'une l'autre», décrypte Jean-Philippe Lachaux. Et cela, même quand le texte lu ne relève pas du discours. Les chercheurs notent en outre que le phénomène est d'autant plus fort que l'attention du lecteur est sollicitée - par exemple parce que le texte est difficile ou parce que la personne ne lit pas couramment.
Les débouchés de cette étude, qui confirme des travaux scientifiques précédents, pourraient concerner la rééducation de personnes schizophrènes voire dépressives qui ne régulent pas cette «petite voix» lorsqu'elle submerge leur cerveau de pensées négatives, explique Jean-Philippe Lachaux. «En utilisant une technique similaire à celle de l'étude, nous pourrions leur montrer concrètement ce qui se passe dans leur cerveau, et cela leur permettrait de se distancier de cette pensée envahissante et de regagner du contrôle».Par figaro iconPauline Fréour - le 07/12/2012
 SOURCE LE FIGARO.FR