Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

mardi 16 octobre 2012

QUAND NOS CROYANCES BASCULENT.

Au-delà :
Quand nos croyances basculent

Pourquoi certaines personnes ayant frôlé la mort parlent aussi assurément d'un « Au-delà » ? Qu’en pense le corps médical ? Deux spécialistes dans ce domaine apportent des réponses à ces questions dans le documentaire « After Life ».
© Jupiter-Films
Dans notre société, parler de la mort n’est pas facile. Envisager qu’il puisse y avoir une fin, se préparer à « perdre » un être cher et à vivre « sans » sont autant d’éventualités effrayantes auxquelles la plupart d’entre nous refusent de penser. Pourtant, une question, vieille comme le monde, nous a tous traversé l’esprit un jour : que se passe t’il une fois que l’on meurt ? « Je crois que quand on meurt, c’est comme une bougie qui s’éteint, les gens décèdent et l’esprit ne peut survivre hors du corps. » Interrogées au hasard dans la rue au sujet de la mort et de l’au-delà, plusieurs personnes témoignent dans le documentaire « After Life » et font part de leurs croyances personnelles. Il y a celles pour qui ne rien pouvoir envisager après la vie est difficilement concevable : « Je pense que notre âme est une force puissante, chargée d’émotions, et je ne peux pas croire que quand nous mourons, tout est terminé. » Pour d’autres personnes, en revanche, l’idée même d’un au-delà semble inimaginable : « Je crois qu’il n’y a rien. Les gens meurent et après c’est fini. Je ne pense pas qu’il y ait d’ascension mystique... ». Comment savoir ce qui nous attend ?

L’au-delà, la preuve par l’expérience ?

Si les nombreuses références religieuses évoquant les notions de Paradis et de réincarnation font partie de notre culture et de notre système de croyances, d’autres éléments beaucoup plus troublants persuadent définitivement certaines personnes de l’existence d’un au-delà, comme les expériences de mort imminente (EMI). Ce phénomène peut survenir lorsqu’une personne frôle la mort comme lors d’un accident de voiture, d’une opération, d’une maladie grave, d’un arrêt cardiaque, mais pas seulement. Un danger psychique ou physique, une chute ou une peur conséquente n’entraînant pas de conséquence physique peuvent également déclencher une EMI.

Pendant quelques instants, ces personnes accèdent à un autre monde, une autre réalité. C’est ce qui est arrivé à Martha. En 1974, au cours d’une sortie en ski nautique, s’étant accroché le bras à la corde, Martha a été traînée sous l’eau et a bien failli se noyer « Je me suis retrouvée dans un tunnel obscur. Il y avait des fleurs magnifiques et des couleurs que l’on ne voit pas sur Terre. J’avais toujours un corps, mais ce n’était pas mon corps physique. C’était comme un corps de lumière. Je me suis retrouvée dans l’Univers au milieu des étoiles et des galaxies et cela m’a paru normal, comme si j’étais chez moi. Et puis, je me suis retrouvée dans mon corps. Je n’ai pas eu de discussion, ni d’argument avec qui que ce soit. Je n’ai pas eu le choix. Je ne savais pas du tout comment réagir à cette expérience. Cela s’est passé un an avant que ne soient publiés les premiers ouvrages sur les EMI. Je ne savais pas ce que c’était et quand je l’ai dit à ma famille, ils ont refusé de croire que j’avais vécu ça. Ça leur faisait peur et ils ne voulaient pas l’entendre. » Cette expérience, profondément marquante, modifie souvent la façon de percevoir la mort et les croyances à son sujet. Comme l’explique Martha : « Ce qui ressort de mon expérience d’EMI, c’est que, depuis, je me sens beaucoup plus en phase avec ce qu’il y a de l’autre côté, avec le ciel, avec cette énergie là. Je n’ai absolument plus peur de la mort. » Plusieurs études indiquent qu’en moyenne, 4% de la population vivrait ce genre d’expériences. Pour la France, cela concernerait environ 2, 5 millions de personnes. Qui sont-elles ? Comment les croire et surtout quels éléments permettent de penser que ces expériences ne sont pas le fruit d’hallucinations ?

Quand le corps médical se confronte à la question

Des médecins s’intéressent au sujet depuis de nombreuses années, à l’image du Dr Jeffrey Long, co-auteur du livre « preuve d’une vie après la mort » et à l’initiative de la création de la fondation sur les expériences de mort imminente. Il a recueilli des milliers de témoignages à travers le monde et dans toutes cultures afin de les analyser et de noter leurs similitudes. Les personnes qui vivent une expérience de mort imminente évoquent généralement les mêmes souvenirs : le tunnel, la lumière, le sentiment de calme et de paix, la rencontre avec des êtres chers décédés et/ou avec des guides spirituels, la sensation de baigner dans un amour absolu, la vision de paysages magnifiques, le passage en revue de la vie. Chaque expérience est différente et ne comporte pas forcément l’ensemble de ces éléments. Pour le Dr Jeffrey Long « Depuis des milliers d’années, les grandes religions, ou d’autres cultes ou philosophies nous ont dit d’avoir foi en la vie éternelle, de croire qu’il y a autre chose que ce que l’on voit et que ce que l’on vit durant notre expérience terrestre, que l’on est plus que cela, que l’on est des êtres magnifiques, que l’on continue à vivre après la mort. Le plus incroyable, c’est que ce message de foi spirituelle, affirmé dans d’innombrables cultures depuis des milliers d’années peut être prouvé.»

D’après ce médecin, l’un des éléments les plus flagrant prouvant qu’il existe une vie après la mort, est la sortie hors du corps vécue par près de la moitié de ceux et celles qui vivent un expérience de mort imminente. Alors qu’ils sont entre la vie et la mort, ils voient et entendent tout ce qu’il se passe au dessus de leur corps et sont capables, une fois revenus à la vie, de restituer chaque parole prononcée par les chirurgiens et infirmières. C’est ce qui est arrivé à Lupita Kirckland. Après avoir traversé une baie vitrée qu’elle n’avait pas vu, elle s’est retrouvée avec de multiples coupures sur tout le corps et avec de nombreuses veines sectionnées : « J’ai compris que j’allais mourir. J’ai vu mon corps de loin, je flottais dans la pièce et j’ai vu ma mère aller chercher le médecin. Elle hurlait, elle pleurait et elle m’a fait de la peine. Je voulais la consoler, lui dire que j’allais bien. Même si j’ai eu peur au début quand je me suis détachée de mon corps, une sensation incroyable de paix m’a envahi. Et j’ai su que tout irait bien et que je retournais dans un endroit qui était chez moi. Je voulais partager tout cela avec mes parents, leur dire que tout allait bien, mais je ne pouvais plus leur parler et je voyais mon cadavre sur le lit. C’est là que le médecin est arrivé, je me souviens qu’il a dit Oh mon Dieu, elle va y passer. J’ai vu le tunnel, il semblait être fait de nuages sombres. Au bout du tunnel, il y avait de la lumière et dans cette lumière, j’ai vu l’image de ce que j’ai pensé être la Vierge Marie. J’ai revu ma vie avec elle. On a parlé de ma mission dans cette vie. Ensuite, on a décidé qu’il fallait que je revienne. J’ai compris que je n’avais pas rempli ma mission. J’ai été aspirée comme ça. En tout cas, j’ai senti que mon âme rentrait dans mon corps avec force. J’ai compris que le médecin m’opérait. J’ai senti une douleur intense dans la poitrine. Toute cette douleur physique est revenue dans mon corps. J’essayais d’aspirer le plus d’air possible dans mes poumons. Il me fallait de plus en plus d’air. Puis le médecin a dit Elle est sauvée ! Elle est sauvée !
Le Dr Raymond Moody, médecin et docteur en philosophie est mondialement connu pour être le premier à avoir étudié en détail les témoignages de personnes ayant vécu une expérience de mort imminente. Dans le documentaire « After Life », il aborde une des autres similitudes fréquemment citées : « Bon nombre de personnes qui sont passées par ces expériences en reviennent profondément transformées, le changement le plus flagrant s’observe chez ceux qui ont recherché toute leur vie la connaissance, la célébrité, le pouvoir ou l’argent et tout ce genre de choses. Lorsqu’ils reviennent, ils déclarent qu’à leurs yeux, la chose la plus importante est d’apprendre à aimer. » Lupita Kirckland, déclare par exemple : « Quand je suis revenue, je n’étais plus la même. J’étais quelqu’un d’autre, plus spirituelle, avec plus de compassion pour les autres. J’étais plus à l’écoute des autres et j’avais plus d’amour à donner. » Lorsqu’elle était adolescente, Jenny Somers a fait une chute de quatre mètres. Son expérience de mort imminente a profondément modifié sa façon de voir la vie « Il s’agit de se reconnecter avec la personne que l’on est vraiment. Il faut se reconnecter à un esprit universel qui est là. Mais nous sommes souvent séparés de notre source. Alors on essaie de se connecter à d’autres gens, aux objets. Cette personne là va me rendre heureuse, cette voiture là va me combler. Nous essayons de nous ressourcer auprès des autres dans cette dimension ci. Mais si, on se reconnecte à la source, là on est épanoui. Maintenant, je réalise que je n’avais pas besoin de toutes ces choses extérieures, mais que je peux être cette lumière, cette mémoire, cette énergie qui nous rappelle de ne pas nous connecter entre nous, mais à la source elle-même. »

Enfin la plupart des personnes témoignant de leur expérience évoquent également le fait de ne plus avoir peur de la mort. Pour le Dr Raymond Moody : « Nous pouvons affirmer aux gens qu’ils n’ont plus de raison d’avoir peur de la mort. Nous pouvons travailler sur cette peur grâce aux informations solides dont nous disposons, qui sont porteuses d’espoir pour les gens qui ont perdu des proches. Perdre un être aimé est l’une des expériences les plus douloureuses de la vie terrestre, et c’est un réconfort de savoir qu’il y a un autre monde dans l’au-delà, dans lequel nous retrouvons les êtres aimés et continuons la relation avec eux. »
S’il est difficile de prouver scientifiquement qu’il existe une vie après la mort, ces personnes ayant vécu une expérience de mort imminente nous interrogent sur nos modèles de croyance. Et si ces questions sur la mort et sur l'au-delà nous invitaient finalement à vivre différemment, ici et maintenant ?

Le DVD du documentaire After Life est disponible sur le site Jupiter-Films »

et sera également en vente dans les réseaux de distribution classiques dès le 5 février 2013.
Afterlife, La Vie après la Vie,
Réalisé par Paul Perry
Jupiter Communications (Octobre 2012)