Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris

samedi 14 avril 2012

ESPRIT, ES- TU LA ?

DOROTHÉE CHASSEUSE DE FANTÔME.

«Vous ne sentez pas le froid?» Rien de plus normal, semble-t-il, dans la nef d'une église. Pas pour Dorothée Koechlin de Bizemont, qui s'exclame brusquement: «Ça grouille de fantômes, ici. Je suis glacée. Sortons!»
Effrayée, elle se précipite à l'extérieur de la chapelle Notre-Dame de la Consolation, rue Jean-Goujon. «Le 4 mai 1897, raconte-t-elle, des dizaines de personnes ont péri à l'emplacement de l'église, dans l'incendie du bazar de la Charité. J'ai ressenti leur présence.» 
En dépit de son air d'institutrice début de siècle, Dorothée Koechlin de Bizemont exerce la surprenante activité de chasseuse de fantômes, toujours à la demande des particuliers. Armée d'un simple pendule, elle entre dans la maison hantée et demande à voix haute: «Y a-t-il une entité dans ce lieu?» Explications: «Je communique avec la présence invisible pour mieux la connaître. Qui est-elle? Que veut-elle? Avec un exorciste et le propriétaire des lieux, nous prions ensemble, pour la pousser mentalement vers la lumière.
Nous allumons un feu; si les flammes craquent, c'est que l'entité se libère.» A Paris, cette chercheuse en parapsychologie, auteur d'un livre sur Le Pendule (Solar), a déjà désenvoûté plusieurs lieux. «Cette ville est très chargée parce que son passé a souvent été sanglant.» On y trouve des hordes de spectres, même. Marie-Antoinette refuserait de quitter le Trianon, à Versailles, et l'esprit de Mazarin «habiterait» toujours la bibliothèque Mazarine, son ancien hôtel particulier. 
Sur la place de la Concorde, malgré la chaleur, Dorothée réprime un frisson: «Une amie médium me disait que, quand elle passait ici à pied, elle croisait les charrettes des condamnés. Cette place a baigné dans le sang!» Autre lieu très «fréquenté»: les Invalides. Jusqu'en 2002, Dorothée y organisait des ateliers de «perception des fantômes des soldats morts dans les jardins de l'hôpital». 
Aujourd'hui encore, la capitale et ses environs seraient la proie de phénomènes paranormaux. En 1984, la direction de la prison de Fresnes aurait fermé une cellule pour «hantise». Une centaine de HLM, dit-on, lieux d'assassinats ou de suicides, ne trouvent plus preneurs parce que squattés par des entités indésirables. Au musée de l'Homme, un crâne en cristal de roche d'origine maya, qui a servi à des rites sacrificiels, se déplacerait, la nuit, de quelques centimètres. Parfois, les gardiens le retrouvent même renversé... SOS fantômes? Une seule solution: contacter notre ghostbuster en dentelles.

 Par par Dalila Kerchouche et , publié le 21/06/2004(0)